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he says "oh baby girl don't be caught of my edges, i'm the king of everything and oh my tongue is a weapon" (ashley) (Inachevé)

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MessageDim 8 Nov - 22:00


he says "oh baby girl don't be caught of my edges
i'm the king of everything and oh my tongue is a weapon
"
ft. ashley

Un désert. Un putain de désert. Dans toute ma vie, j'aurais jamais cru finir comme ça. En train de marcher sous une chaleur insupportable dans un désert. C'était juste pathétique, c'était comme si on m'avait proposé de choisir entre me faire torturer par des pirrhanas et me faire dévorer le ventre par un rat ou marcher sous la chaleur intense et insupportable de la Terre Brûlée. Et comme un imbécile j'avais choisi la Terre Brûlée, parce qu'on savait absolument tous que j'étais un con pas fini. Alors après avoir marché pendant trop longtemps, j'avais fini par m'arrêter sans même faire attention à si Ashley s'était arrêtée ou non et je m'étais assit par terre. Comme pour dire "J'en ai marre, ça m'soule, j'veux plus marcher, j'reste assit et je boude.", gamin ? Totalement. Mais c'était normal, j'étais encore un gamin et j'en avais assez de devoir survivre dans un désert. En plus de ça je crevais de soif et j'avais presque plus d'eau. D'ailleurs j'y fis même pas attention quand je vidais ma seule bouteille d'eau, passant ensuite mes mains sur mon visage pour ensuite soupirer. « Ashley. » Ce fut le seul mot que je prononçais en relevant le regard, je regardais juste autour de moi. Rien de plus que des tonnes, des tonnes et encore des tonnes de dunes de sables. J'en avais réellement assez de cet endroit. En réalité, heureusement qu'Ashley était là où j'aurais déjà craqué. Je me serais déjà allongé dans le désert, et je me serais laissé mourir. Mais elle était là, alors je ne le ferais en aucun cas. M'appuyant sur les mains dans le sable avant d'enlever celui qui y était pour me rapprocher de la jeune femme. « Est-ce qu'on peut s'arrêter, j'en peux plus de marcher... » C'était pas réellement une question dans le fond, parce quoi qu'elle répondrait je comptais m'arrêter. J'étais épuisé, et ça ne changeait pas ça. Mais j'allais pas la laisser partir seule quand même, j'étais pas un enfoiré.

Et puis j'étais amoureux d'elle aussi, je comptais pas la laisser partir.

Me plaçant derrière elle, je posais mes mains à sa taille pour finalement l'entourer de mes bras, posant ma tête contre son épaule pour fermer les yeux. Je m'étais mis à parler ensuite, d'une voix beaucoup plus calme, plus douce. « J'ai envie de dormir. » J'étais réellement fatigué, mais j'avais envie de la garder contre moi en même temps alors je trouvais ça plus adapté, de la prendre dans mes bras. Elle était un peu tout ce que j'avais depuis quelques temps. Et j'étais tellement amoureux d'elle, donc ça m'effrayait. J'avais peur de devenir un monstre, et d'oublier à quel point j'étais amoureux d'elle. Ouvrant les yeux, je penchais la tête pour la regarder en passant mes doigts dans les cheveux de la jeune femme. Elle était toujours aussi belle, toujours même depuis que je l'avais rencontrée. Bon, certes elle était plus âgée que moi, mais où était le problème à ce niveau-là ? Je l'aimais. C'était pas un an d'écart qui allait le changer, pas même le fait qu'elle soit immunisée et moi non. J'étais conscient qu'elle était immunisée, et ça ne me faisait pas plus peur que ça. J'avais juste peur de la tuer, si je devenais cinglé. J'avais juste peur de la blesser, et je commençais à avoir peur de l'aimer. Descendant ma main sur une de ses joues, je lui caressais du bout des doigts avant de souffler doucement, parlant plus calmement encore. « Je t'aime Ashley, tu sais ? » Je me sentais obligé de lui dire, de lui dire encore. De lui dire doucement, rapidement, même de lui dire haut ou de lui dire fort. Comme pour lui rappeler que pour l'instant je n'avais pas encore la Braise, que je commencerais à taire mes sentiments envers elle quand je l'aurais attrapé. Peut-être même l'avais-je déjà, j'en avais aucune idée. Aucune encore.
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Ashley Addams


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MessageLun 9 Nov - 2:03



Atom ♦ One person can change your llife

Du sable. Rien que du sable. A perte de vue. C’était à se rendre malade. Se décider à faire cette traversée n’était peut-être pas l’idée la plus ingénieuse que l’on avait pu prendre. On s’était peut-être un peu trop surestimée. Je devenais folle. La chaleur était insupportable. J’avais l’impression d’être un œuf que l’on cuisait sur un poêle. On avait beau être endurants, être tous les deux de bons sportifs, marcher dans le sable c’est une autre paire de manche que de courir. C’est fatiguant. On s’enfonce à chaque pas, on doit se libérer pour faire une nouvelle enjambée. Ce qui nous prendrait une heure prend le double, et le soleil qui tambourine ne nous aide pas non plus. Encore par chance, le vent n’est pas de la partie, pas encore du moins. Mais les tempêtes sont fréquentes et il est quasi certain que l’on finira par en rencontrer une durant notre périple. Ma gorge est sèche, je sens le moindre muscle de mon corps en proie à d’horribles courbatures. J’essaye de me motiver, de continuer malgré mon état de fatigue. Je suis devant, Atom me suit, je me concentre sur son ombre qui est à peu près à ma hauteur. D’ailleurs je ne dois pas être la seule à ne plus en pouvoir, l’ombre de mon petit ami a disparu. « Ashley. » Je me retourne alors pour constater qu’il vient de s’assoir. Il est à bout lui aussi, ça se voit. « Est-ce qu'on peut s'arrêter, j'en peux plus de marcher... » Je pousse un profond soupir, je n’ai qu’une envie moi aussi, rester là et ne plus bouger, mais ce n’est certainement pas une bonne idée. Je le rejoins, une petite pause ne fera de mal à aucun de nous deux.

« Tu vas avoir une calvitie précoce si on reste trop longtemps sur place. Je crois que ça commence déjà d’ailleurs. » Lâchais-je en le taquinant, amusée.

Il passe ses bras autour de moi, posant sa tête contre mon épaule et je ferme les yeux un instant. Ce contact est agréable, il est ma seule source de réconfort dans cette immensité désertique. « J'ai envie de dormir. » Comme je pouvais le comprendre. Je n’en pouvais plus de ce désert. Il fallait qu’on se repose. Je glisse mes doigts sur les siens comme pour lui donner le peu de courage qu’il me reste. Il faut tenir bon, de toute façon maintenant que l’on a commencé on est obligé de finir, mais combien de temps encore ? L’eau n’allait pas tarder à manquer et la nourriture également. Je me perds dans mes pensées, l’inquiétude commence à me travailler en plus de la fatigue, c’est lorsqu’il glisse ses doigts dans mes cheveux et que je frissonne que je me reconcentre sur lui. Il caresse ma joue avec de me souffler : « Je t'aime Ashley, tu sais ? ». Je ne peux pas m’empêcher de sourire, sentant le rouge me monter aux joues. On va dire que c’est la chaleur. Cela fait sept mois que l’on forme un couple, pourtant je ne m’habitue pas à ça. Mes sentiments sont quelque chose qui me fait vraiment peur. Peut-être parce que je n’ai jamais aimé avant lui, parce que mes parents ne m’ont jamais réellement appris ce qu’était l’amour, ou peut-être simplement parce que l’idée d’accepter qu’il représente tout est étrange, déroutante et effrayante, qu’il pouvait tomber malade à n’importe quel moment et me laisser seule. Je chassais cette pensée de mon esprit, me retournant vers lui pour glisser mes bras autour de son cou. Je me perds un instant dans ses prunelles. Il n’y a sans doute que moi qui puisse constater qu’il sait se montrer doux quand il le veut. Je me redresse sur la pointe de mes pieds pour rapprocher mes lèvres des siennes, murmurant contre ses dernières :

« Je t’aime. »

Je capture doucement ses lèvres, glissant mes doigts dans ses cheveux. Je rends que ce baiser me revitalise un peu, mais ce ne sera certainement pas assez. Je me recule finalement, glissant mes doigts dans les siens.

« On devrait essayer de trouver un abri pour se reposer et pour la nuit, si une tempête ou un orage éclate dormir à même le sable est une très mauvaise idée. Avec de la chance on trouvera peut être même un peu d’eau ? »

Là ça serait le jackpot. Je regarde autour de nous. A priori rien mais parfois on peut trouver de belles surprises derrière une dune. J’essaye de ne pas me décourager.

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MessageMer 11 Nov - 15:09


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Quand elle parlait de l'état que mes cheveux finiraient peut-être par avoir, un grognement sorti presque immédiatement de ma bouche : incontrôlé. Je refusais comme catégoriquement qu'il arrive quoi que ce soit à mes cheveux, parce que mes cheveux étaient la chose de laquelle je prenais le plus soin. J'avais passé mes mains dans mes cheveux suite à ça avant de regarder mes mains puis de secouer la tête. J'avais l'habitude de faire des choses assez bizarres, donc elle était sûrement habituée. « Si ce soleil de merde touche à mes cheveux, j'vais dans l'espace et je lui botte le cul. » J'étais très sérieux en prononçant ces mots, et elle le savait très certainement d'ailleurs. Je refusais que ce soleil, grave chiant au passage, touche à une seule partie de mon physique, déjà qu'il m'éclatait mentalement à cause de mon crâne qui bouillonnait. Quand on disait que les éruptions solaires avaient augmenté la température de la planète, c'était malheureusement très loin d'être une blague. Et c'était plutôt violent. Quand elle m'embrassait, j'eus assez rapidement un mouvement de recul et mit ma main sur sa bouche pour finalement secouer la tête. « Tu pues de la gueule, bouge. » Trop de franchise et trop de gentillesse en moi et en mes mots, mais au moins je lui disais assez clairement ce que je pensais. Bon, ouais j'étais amoureux d'Ashley. Mais pas au point de la laisser me tuer quand elle puait clairement de la bouche. Ou alors c'était juste une excuse pour ne pas l'embrasser, mais si c'en était une elle ne le saurait jamais. Sauf si elle utilisait la fameuse technique de la main pour sentir son haleine.

En l'entendant parler, j'ouvrais grand les yeux et finissait par rire, puis secouait la tête. Trouver un abri ? Utopie. Les utopies, ça n'a jamais existé et ça n'existera jamais. Et pour plus, trouver à boire ? Il fallait continuer de marcher pour ça, et je comptais pas me relever pour marcher encore une fois. Encore moins maintenant que je m'étais rassit par terre. « Mais bien sûr, t'as totalement raison. Cherchons une baraque qui appartient certainement à quelqu'un d'autre pour aller dormir dedans. Comme ça si plus de la moitié des choses de cet endroit on été touché par une personne infectée ou au stade ou on peut plus appeler ça humain, je tomberais malade encore plus rapidement. C'est sûr que dans le fond je dois être moins chiant en devenant cinglé. » J'étais un peu trop violent dans les mots que j'utilisais, étant donné que le fait que je ne sois pas immunisé n'était pas de sa faute à elle. C'était de la faute à personne, dans le fond, c'était juste que j'avais quelque chose de différent dans mon corps, différent d'elle. Mais en même temps, c'était parce que je n'étais pas immunisé que je refusais toujours d'aller dans des maisons, ou que je refusais de toucher d'autres personnes qui pourraient être infecté. C'était comme si je devenais un peu paranoïaque au fond. J'étais un peu parano, c'était visible, mais j'essayais de me dire que je ne l'étais pas. Parce que c'est difficile de s'avouer à soi-même ce qu'on est. « De toute façon y'a absolument quedal autour de nous, à part du sable. Et du sable, et encore du sable. Alors à moins que t'ai des tonnes d'eau et du gravier pour faire du ciment et te le construire toi-même ton abri, je vois pas comment tu comptes faire. Parce que j'ai pas envie de marcher, et je marcherais pas. Et parce que ça sert à rien de croire qu'on trouvera des endroits qui n'existent pas. »

Plus le temps passait et plus je disais ce genre de choses en vérité, j'en avais assez d'espérer trouver un endroit sécurisé, où vivre tranquillement sans risquer de tomber malade et sans risquer de devenir complètement cinglé. Baissant le regard vers mes mains en m'asseyant correctement par terre, je finissais par soupirer. De toute façon, c'était probable que je sois déjà malade, et on pouvait rien en savoir parce que c'était probablement que le début. Et même si on savait, si je l'étais vraiment on aurait rien pu faire. Alors à quoi bon ? « Dans tout les cas qu'on soit à l'abri ou non, ça s'trouve j'suis déjà malade. Et puis je suis destiné à devenir complètement cinglé, alors à quoi ça sert qu'on se cache dans une abri. J'suis pas une marmotte, ça va pas toi. » Finalement, je me redis assez rapidement compte que tout ce que je disais, c'était comme si je remettais totalement la faute sur elle. Elle n'était pas la cause de tout ce qui était en train d'arriver, elle était seulement là et j'avais besoin de remettre la faute sur quelque chose ou quelqu'un d'autre que moi-même, pour ne pas me sentir coupable de ce qui arrivait. Relevant le regard vers elle, je finissais par me gratter la nuque avant de soupirer. « Désolé. » C'était rare, que je m'excuse. C'était même très rare, mais il le fallait, là. Je voulais pas qu'elle me laisse là, et je voulais pas qu'elle me laisse seul.
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MessageDim 29 Nov - 4:32



Atom ♦ One person can change your llife

Tout ce sable me rendait folle. Le soleil qui tapait sur nos têtes et brulait doucement notre peau était dangereux tant pour notre condition physique que pour notre mental. Je perdais facilement ma patience alors ne parlons même pas d’Atom qui venait de prouver qu’il n’en pouvait plus en s’asseyant dans le sable, bien décidé à ne pas faire un pas de plus. Je devais reconnaitre que je n’étais pas plus motivée mais il fallait bien que l’un de nous prenne les devants et encourage l’autre quand il baissait les bras. On ne pouvait décemment pas rester ici les bras croisés à attendre que le temps passe. A tout moment un orage ou une tempête de sable pouvait se déclarer et nous n’avions rien pour nous abriter. Il grogne à ma remarque sur ses cheveux et je ne peux m’empêcher de sourire victorieusement. Pour toutes les fois où il ne peut s’empêcher de me lancer des piques j’ai bien le droit de le chercher un peu moi aussi. Je sais parfaitement que sa revanche sera largement plus exagérée mais j’ai l’habitude avec lui, c’est devenu un trait qui m’amuse, même si sur le coup j’ai souvent envie de l’étrangler. « Si ce soleil de merde touche à mes cheveux, j'vais dans l'espace et je lui botte le cul. » Je lève les yeux au ciel en souriant à nouveau.

« J’aimerai bien voir ça Atomic boy. »

Oh je sais qu’il a horreur des surnoms que je peux lui inventer. Ça aussi c’est l’un de mes petits plaisirs. Je dépose mes lèvres contre les siennes et il ne tarde pas à se reculer, affichant un air limite dégouté. « Tu pues de la gueule, bouge. » Je ris jaune, lui adressant un somptueux doigt d’honneur. Il a sans aucun doute un peu trop de franchise, le manque d’eau et de nourriture d’aidant certainement pas. Je ne prends même pas la peine de vérifier, me contentant simplement de vider ma bouteille de la dernière gorgée qu’il me restait. Je crois que là on est vraiment mal.  Il faut trouver un abri et des vivres. « Mais bien sûr, t'as totalement raison. Cherchons une baraque qui appartient certainement à quelqu'un d'autre pour aller dormir dedans. » J’hausse les épaules, ce détail-là ne me dérangeait plus tellement. « Comme ça si plus de la moitié des choses de cet endroit ont été touché par une personne infectée ou au stade ou on peut plus appeler ça humain, je tomberais malade encore plus rapidement. C'est sûr que dans le fond je dois être moins chiant en devenant cinglé. » Je le fixe le regard vide. J’ai horreur quand il parle de ça.

« C’est vrai que t’es chiant. » lâchais-je simplement, assez blessée par ce qu’il venait de dire.

Il ne comprend pas. Il ne réalise pas à quel point l’idée de savoir que je ne risque rien face à la braise, et que lui si est horrible. Je donnerai volontiers ma place pour lui. Il a peur, j’en ai conscience mais moi aussi, j’ai peur pour lui.  « De toute façon y'a absolument quedal autour de nous, à part du sable. Et du sable, et encore du sable. Alors à moins que t'ai des tonnes d'eau et du gravier pour faire du ciment et te le construire toi-même ton abri, je vois pas comment tu comptes faire. Parce que j'ai pas envie de marcher, et je marcherais pas. Et parce que ça sert à rien de croire qu'on trouvera des endroits qui n'existent pas. » Je serre les dents, peut-être est-ce le soleil qui commence à réellement me taper sur la tête, ou bien c’est lui, je ne sais pas, mais je sens que la colère commence à sérieusement m’échauffer. Il a raison pourtant, il n’y a rien autour de nous, mais ce n’est pas en restant planté là comme des cactus qu’on trouvera quoi que ce soit non plus.

« T’as un meilleur plan ? Hormis nous laisser rôtir au soleil ? » Lançais-je peut être un peu trop sèchement.

S’énerver mutuellement l’un contre l’autre n’allait pas arranger la situation non plus. On est tous les deux à fleur de peau. Je soupire longuement, inspirant profondément pour essayer de me calmer. Mais lui ne semble pas en avoir fini. « Dans tout les cas qu'on soit à l'abri ou non, ça s'trouve j'suis déjà malade. Et puis je suis destiné à devenir complètement cinglé, alors à quoi ça sert qu'on se cache dans une abri. J'suis pas une marmotte, ça va pas toi. » Mon cœur se serre à ses mots. Je retiens les larmes que je sens naitre au bord de mes yeux. Je les ravale sans doute par excès de fierté. Je ne veux pas l’imaginer infecté par la braise, je ne veux pas le voir se changer en monstre et le voir basculer dans la folie.  Je me sens coupable de ne pas avoir à m’inquiéter pour ma condition, non je n’ai pas à craindre les attaques de ses créatures ou d’infectés, enfin, si mais pas dans le sens où je risque d’être contaminée. Je me mords l’intérieur de la joue, fixant au sol des grains de sable quelconque, affichant une mine abattue. « Désolé. » Je relève mes prunelles vers lui, déglutissant pour finalement soupirer à nouveau. C’était plutôt rare qu’il s’excuse alors je n’allais pas le taquiner la dessus, je me contentais de les prendre pour attraper sa main.

« T’es ptet pas une marmotte mais tu ronfles autant. »

Je souris, le poussant légèrement. Disons que c’est ma façon de lui dire que je ne lui en veux pas. Ce n’est pas facile, notre condition actuelle est stressante, enfin, notre vie complète l’est. Je le force à marcher avec moi avant de remarquer que quelque chose reflète le soleil. Je lui montre d’un signe de doigt.

« Dis moi que j’ai pas une hallucination et qu’on a peut être un soupçon d’espoir ? »


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