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Voyage en France ! [Flashback à 3: Fascina, Isaline et Lucas]

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MessageSam 16 Mai - 18:59

Histoire


Ce rp se passe il y a quatre ans.

OHHHH Génial !!!! Je vais aller en France !!! Pour mon anniversaire !!! Ouiiiiiiiiiiiii ! Je suis tellement heureuse... On va aller à Paris ! Sur mon lieu de naissance !! Et ce pour que je connaisse mes origines ! Qui plus est, je vais rencontrer ma cousine germaine du côté de Papa. Apparemment elle s'appelle Isaline... C'est un joli prénom, j'aime beaucoup. De plus je suis trop heureuse, Lucas aussi est de la partie. Son père ne va pas le prendre à cette période ! Ah il ne me gâchera pas mon anniversaire pour une fois.
On part demain matin à l'aube. Papa et Maman nettoient la maison et nous ont demandé, à moi et à Lucas, de préparer nos valises. C'est ce que je suis en train de faire. Paris est une ville qui n'a pas trop été touchée par les éruptions solaires, du moins elle a été reconstruites et la ville a repris pied !
Je suis tellement heureuse...
J'ai trouvé à la cave des livres, des livres sur Paris ! Les versions digitales ne m’intéressent pas, de toute manière depuis les éruptions la moitié ont grillé. J'ai un livre qui se nomme "Paris ville lumière". C'est plutôt ironique pour une ville qui a prit feu.
Enfin bref. Je suis trop contente ! Enfin je pourrai partir de Kansas City... Ici je commence à me lasser.
Ziiiiiiiiiip. Je viens de fermer ma valise et me dirige vers la chambre de Lucas pour lui dire bonne nuit.
Je veux dormir tôt pour pouvoir être totalement consciente demain lorsque nous volerons vers Paris. J'ai hâte de pouvoir voir les paysages aériens... Et j'ai aussi hâte de rencontrer ma cousine.
Bizarre qu'en dix ans je ne l'ai jamais rencontrée...
Après avoir salué Lucas, je me dirige vers le rez-de-chaussé pour dire bonne nuit à mes parents. Ils bossent dur pour me faire plaisir, et ça m'emplie de joie. Je sais tout de même qu'en réalité ils ont peur. Je sais qu'ils ont peur qu'une nouvelle catastrophe arrive. Ainsi ils veulent profiter jusqu'au dernier moment de pouvoir voyager, et aller à Paris est pour eu un remémorage de ma naissance.
Je suis très très très heureuse ! Je les embrasse, les câline et leur redit merci.
Je remonte à l'étage, arrivée dans ma chambre je mets ma valise sur le sol près de la porte, ferme les volets, embrasse mon livre et m'allonge dans mon lit.
J'étteins la lumière, rabat la couverture jusqu'à mes épaules et je cris dans toute la maison "BONNE NUIT !".
Je ferme les yeux.

J'ai tellement hâte d'être à demain !
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MessageMer 20 Mai - 20:08




Une voix me fit écraser ma clope sur le mur, par la fenêtre laissée ouverte, clope que j'eus le temps ensuite de glisser dans ma cachette, petit espace entre le rebord de fenêtre et le mur. Me permettant de glisser le petit bâton. C'était interdit... Et ce qui était interdit était un délice délectable. Ce monde n'était pas ce que j'espérais, alors je n'étais pas le brave gamin qu'il espérait de moi. Je finis par me replacer dos à la fenêtre. Laissant ma mère entrer. Par chance, comme tout à l'heure j'avais un équilibre précaire sur la fenêtre, il n'y avait pas d'odeur de clope, et j'étais assez futé pour ne pas laisser échapper de fumée comme un novice et laisser le tabac imprégner mes fringues. Elle entra dans la pièce, rayonnante de sa bonne humeur habituelle.

« Nous allons en France pour l'anniversaire de ta sœur. »

Ha... C'était vrai, p'pa et maman étaient là bas quand elle est née, quant à moi, j'étais chez P'pa, j'imagine ? Maman et papa s'étaient séparé. Les raisons étaient simple, et j'étais assez grand pour comprendre pourquoi. P'pa et M'man m'avaient eu jeunes. Ils n'étaient même pas majeurs il me semble, Papa s'était donc marié (parce que ses parents voulaient... Sauver les apparences?) Il avait découvert peu de temps après sa réelle sexualité. Le couple avait donc explosé. J'étais le chouchou de papa, mais j'étais aussi l'enfant qui l'avait forcé à s'enchaîner. Je me souvenais, gamin, où il faisait exprès de bosser à la maison pour s'occuper de moi... Maman avait beau le détester... C'était mon père. Bref, elle sortit, toute heureuse, elle aurait pus sautiller qu'elle l'aurait fait. Un regard doux lui répondit. Je souris doucement.

« Bien m'man, vivement demain alors. »


Je fis ma valise, embarquant tout ce qui avait de la valeur et qui était assez léger, savait-on jamais... C'était dangereux de laisser des choses ici. Mes yeux se posèrent sur un petit paquet cadeau. Il contenait une vieille montre à gousset qui avait appartenu à grand père, j'étais parvenu à la réparer, grâce à un vieux livre expliquant les principes de l'horlogerie. J'y avais ajouté une photo de moi et Fasty, et derrière j'avais fais graver ces quelques mots. Loin des yeux, près du cœur. Parce que après tout, p'pa venait régulièrement me chercher, pour m'emmener chez lui.
Je ne dormais pas. J'avais des insomnies régulièrement. Mon regard était rivé vers l'extérieur. Cette fenêtre qui s'ouvrait sur le reste du monde. Minuit, déjà. Je me glissais hors de ma chambre. Évitant les lattes qui faisait du bruit pour me glisser dans la chambre de ma sœur et laisser le cadeau sur sa table de chevet et déposer un baiser sur son front, avant de m'éloigner et de regagner ma chambre. Les posters tapissaient les murs, je m'approchais de mon bureau pour me saisir d'un de mes livres, un de ces bouquins parlant de science. J'avais toujours été intéressé par l'évolution des espèces et la théorie Darwinnienne. C'est ainsi que passa la nuit, sans que je ne dorme une seule seconde. C'était ainsi, de gros problèmes pour dormir, depuis quelques temps, j'étais sujet au stress, et quelque chose me hantais, sans que je sache pourquoi. Les cauchemars étaient toujours les mêmes. Et le grand jour était arrivé, M'man arriva dans ma chambre, laissant échapper un soupir, constatant que je n'avais pas dormis. Je sortis de ma chambre, tout habillé et déjà prêt, tirant ma valise derrière moi. J'avais des problèmes, oui je le savais. Je passais devant mon beau père, lu tapant la bise.

« Salut Matt, quoi d'neuf ? Bien dormis ? »

J'étais un sale gosse, j'étais un sale gosse qui aimait se rendre exécrable, mais au moins, je n'avais pas mauvais fond. J'aimais bien le type que s'était trouvé m'man, il était gentil, il ne la rendrait pas malheureuse.

Note : Le rp se passe avant que Silas soit personna non gratta en zone saine, il a encore la possibilité de l'embarquer dans un « chez lui »
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Isaline Sangster


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MessageSam 23 Mai - 20:03

J'ouvris les yeux. Soudain, un bruit sourd me réveillait. Ce n'était que mon frère qui venait de s'écrouler dans les escaliers. Je soupirais et me redressais donc sur mon lit avant de basculer mes jambes et de déposer mes pieds sur le sol. J'élevais mes bras au dessus de ma tête afin de m'étirer. Mes os craquèrent, je me sentais mieux. Je me levais donc avant de partir ouvrir les piteux volets qui me permettait de mieux dormir dans cette pièce qui était ma chambre. On peut dire que ma famille n'était pas la plus riche, loin de là. Nous étions donc installé au deux derniers étages d'un vieil immeuble rescapé des évènements passés. Je recommençais donc à marcher jusqu'à notre "salle de bain" pour finaliser mes préparatifs. J'avais déjà faits ma valise depuis longtemps. Elle était prête depuis le moment où mes parents m'avaient annoncé mon voyage. C'était la première fois que je partais malgré mes 13 ans. Et je dois dire que c'était un soulagement pour mes parents. Ils ne me portaient pas vraiment dans leur cœur et on peut dire que le fait que je parte de la maison pour un petit moment leur faisait le plus grand bien. Une fois finis, je pris mes bagages et partis sans même un en revoir. Ils s'en fichaient de toute manière. Je passais quand même voir mon frère qui lui m'importait beaucoup. Je le serrais dans mes bras fort, très fort et je partis sans me retourner. Avançant jusqu'à la maison de ma cousine et de mon cousin, de mon oncle et ma tante. Je ne les avais encore jamais rencontré mis à part mon oncle auquel j'avais apparemment une bonne impression. C'est ainsi que je me suis retrouvé à partir en France avec eux. J'allais voyager, voir du monde, sortir de ma routine. Juste un rêve éveillé pour la fillette que j'étais. Je souriais comme à mon habitude. Comme chaque jour mais cette fois ci c'était diffèrent. C'était un vrai sourire, pas un faux sourire. Un vrai de vrai comme je n'en avais encore jamais fais. J'y étais. Je tirais ma valise et atterris dans la rue où je devais me rendre. J'hésitais. Allez Isa, souffle un bon coup. Je m'exécutais et continuais d'avancer. J'étais devant la porte, devant mon rêve, devant leur maison. Je tapais en esperant pourtant que tout ceci était bien réel. Il le fallait. Oui, il le fallait.
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MessageMar 26 Mai - 18:20

Matinée


Quel beau ciel aujourd'hui ! Moins rosi que les autres jours... plus bleu. Hiiiiiiii ! Je m'étire. Ahlala j'ai passé une plutôt bonne nuit. Courte, certes, mais plutôt agréable. Ce n'était pas ce genre de nuit ou je me tortille dans tous les sens, cherchant un peu de fraîcheur. Non. Ma fenêtre était restée fermée, la nuit n'avait pas été étouffante. Puis soudain, je me rends compte... C'est le jour J !!!! Je me lève, enfile une robe de chambre et mes chaussons roses et descends les escaliers aussi vite que je peux. Je vais à la cuisine, me serre un verre de jus d'orange, prends les billets d'avion et je vais m'asseoir à la table. Je regarde les billets d'avions. Il est vers les neufs heures du matin et nous devons partir dans à peine une heure... Qu'est-ce que j'ai hâte !!!

Après avoir fini mon verre, remis les billets d'avion sur la cheminée et remonté les escaliers, je m'approche de la chambre de mon frère. Toc toc toc. Je toque doucement à sa porte, mais il ne m'admet aucune réponse. J'ouvre délicatement la porte. La lumière du soleil levant éclaire son oreiller. Ses cheveux blonds paraissent presque blancs. Ahah... J'ai un VIEUX frère !
Je m'approche sur la pointe des pieds, puis arrivée près de son lit je lui chuchote à l'oreille: "Lucas... Psssst"
Il ne bouge pas.
Je saute sur le lit, le remue et dit "Lucas ! Allez debout, debout !"
Il ouvre un œil et me rétorque gentiment "Fasty laisse-moi, va te recoucher"
Et je réponds en m'écrasant sur lui: "Je ne peux pas ! Le ciel est réveillé, Alors moi aussi je suis réveillée... et il est l'heure de se lever !"
Il ri. Puis je le chatouille et il est enfin résilié à se lever. Le temps qu'il s'habille je retourne dans ma chambre, je vais reposer ma robe j'ai trop chaud. Tiens ? Un petit paquet sur mon bureau ? Je ne l'avais pas vu ! C'est Lucas surement ! Je l'attrape, et l'ouvre délicatement pour pouvoir conserver le papier cadeau. C'est une montre à gousset ! Accompagnée d'une photo et de l'expression qui exprime le mieux notre duo: "Loin des yeux, près du cœur." Je sais à quoi il fait référence... Je l'aime tellement !
Je retourne dans sa chambre, l'embrasse tendrement sur la joue et m'enfuie dans le couloir. Je toque à la chambre de mes parents. J'entends deux gémissements à l'unisson qui m'invite à rentrer,ce que je fais instantanément. Leurs volets sont fermés, ils en ont marre du soleil eux qui ont fait face aux éruptions du coup ils s'en cachent. La lumière faible du couloir me fait apercevoir le visages souriants en me voyant. Je leur saute dessus et me mets entre eux deux, en câlin. J'aime bien ces matins, on se prélasse et on est ensemble.
Lucas nous rejoins, on s'amuse.
Un quart d'heure est déjà passé depuis mon réveil. Je le voit à l'horloge se trouvant en face du lit. Je me lève, debout sur le lit et dit: "Go au petit-déjeuner moussaillons ! Nous partons dans une demie heure !"
Je saute du lit, atterris sur le parquet et serre les pieds: sauter de trente centimètres ça claque ma foi !
Puis j'entends toquer à la porte... ISALINE ! Ce doit être elle !!!
Je dévale les escaliers, m'accroche à la rampe pour ne pas tomber avec la vitesse qui m'emporte puis me met juste derierre la porte.
De nouveaux coups se font entendre. Je prends une très grande inspiration: Je vais enfin rencontrer ma cousine ! Mon papa m'a toujours dit que quand elle n'était qu'un bébé, c'est à dire avant ma naissance car la jeune fille a trois ans de plus que moi, elle était déjà très souriante.
Je place ma main sur la poignée, la tourne, et l'ouvre totalement en découvrant le visage de ma sublime cousine.
Elle est très belle, blonde aux yeux clairs. Et comme me l'avais promis papa, elle est tout a fait souriante.
Je lui esquisse un énorme sourire qui doit assurément montrer toutes mes dents. Puis je lui saute au cou... C'est la seule chose que je trouve a faire après tout. Autant commencer sur des meilleures bases qu'une simple bise et un timide haussement des lèvres.
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MessageSam 20 Fév - 14:19

J'avais sonné. Et s'il n'ouvrait pas ? Et si tout cela n'était que pour me faire encore plus souffrir après ? Et si mes parents me jouait un mauvais tour ? Et si ma tante n'était pas si gentille que je le croyais ? Et si ...Trop de questions se bousculaient dans ma tête. J'espérais que toute cette cacophonie interne s’arrêterait le plus vite possible. Pitié, il le fallait. Je reculais d'un pas en entendant du boucan à l'intérieur de la maison. On se rapprochait de moi. J'avais ne serais ce que légèrement peur. Je posais mes bras contre mon ventre en lâchant ma valise recouvrant quelques bleus qui parcourait mon corps. Et ceux ci n'étaient pas arrivé ici seulement à cause de ma maladresse et mes nombreuses chutes. Non, j'aurai bien aimé. Cela aurait tout simplifié. On tournait la poignée. On ouvrait. Mon cœur accélérait. Mon sourire était bien planqué. Tout irait bien. Tout irait mieux. C'était ma cousine. Enfin...c'est ce que je supposais. Fascina. Qu'est ce qu'elle était belle ! Son sourire embellissait tout ce qui l'entourait. C'était incroyable ! Inimaginable ! Fascinant. Oui, Fascina était fascinante. Son prénom lui allait tellement bien en y repensant. Puis, tandis que je la regardais, incapable de détourner le regard d'elle, elle me sauta au cou. Littéralement ! Surprise, je reculais d'un pas avec elle, accroché à mon cou. Cependant, c'est quelques millièmes de secondes après que je la serrai à mon tour. C'était la première fois que quelqu'un, à part mon frère, éprouvait, ne serait ce qu'un tout petit peu preuve de gentillesse envers moi. C'était rare mais tellement précieux. Je voulais la garder à tout jamais avec moi. Nous allions bien nous entendre, c'était certain. J'étais sûre que ma cousine réussirait à me faire oublier mes soucis et réussirait à me faire aller mieux. J'étais enfin heureuse. Quoi que..je parlais trop vite.

On me tirait en arrière. On m'arrachait à mon rêve. Non. C'était mon père. Il me criait après. Je me débattais de toute la force que j'avais malgré mes 13ans. Pitié, non. Il me faisait mal et me tirait dans l'allée. Je ne sentais plus mon poignet, il le craquait. Je voulais rester. Je criais son nom désespérément ! Qu'on ne m'arrache pas à elle ! Tout sauf ça ! Pourquoi ne pouvais je pas partir ? Pourquoi ? Parce que mon frère ne partait pas ? Je criais son nom. Fascina. Aide moi. Je priais intérieurement pour qu'elle ne fasse rien et en même temps pour qu'elle vienne me sauver. Je savais que j'aurai de nouveaux des coups chez moi. Toujours plus violent les uns que les autres. Je ne faisais rien. Je n'avais jamais rien fais ? Pourquoi s'acharnait-il contre moi ? Pourquoi suis je née s'il ne veule pas de moi ? Je ne veux pas subir les coups. Je ne veux pas servir qu'à ça. Je ne veux plus !  Je ne pleurai pas. J'avais les yeux rougis, la gorge en feu mais je ne pleurerai pas. Je ne le laisserai pas gagner. Je gardais la tête haute en essayant de m'éclipser bien que les coups revenaient. Oui, j'avais mal. Comme jamais. Mais l'intérieur était bien pire. C'est à ce moment là que j'ai su. Là, que j'ai compris que je n'irai jamais mieux.
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