(prévert) ▽ « NEVER TRUST A HUG. IT'S JUST A WAY TO HIDE YOUR FACE. »
Du chaud. L'eau de la douche coulait abondamment, créant un frisson de plaisir. Ca faisait tellement du bien de reprendre une douche correctement. J'en aurais presque embrassée la baignoire. Quand ont avait quittée le Bunker avec June, ont avait pas vraiment réussis à prendre de douche convenablement. On allait et venait dans les maisons les moins touchés par les éruption solaires, dans l’espérance de trouver une douche était mince. Je me laissais allés à des profondes pensés, je revoyais mes fuites constante avec June. On tuait de nombreux Fondus qui nous encerclait. Au début je n'avais aucune expérience dans l'art des combats, mais comme leur cerveau était long à la détente, je m'en était sortis plutôt pas mal. Puis vain la mort de ma seule amie, la seule personne assez proche qui me restait. Je me repassais souvent ce souvenir douloureux dans ma tête. June me poussant de l'autre coté du grillage pour me sauver la vie, les fondus qui lui sautait tous dessus pour la savourer. Et celui qui c'était jeté contre le grillage afin de m'attraper les yeux complémentent voraces et fou. Je m'étais jurer que je le retrouverais. Mais à chaque fois que je m'échappais y'avait toujours une personne du refuge qui me retrouvait. Sa devenait agaçant à la fin. Sortant de la douche j'attrapais des vêtements propres, sûrement des vêtements chopés dans une boutique encore debout. Je suis revenu dans ma chambre, traversant un long couloir du refuge. Les personnes vaguait à leur occupations. J'attrapais mon arc que je glissais derrière mon épaule avec mon carquois dans mon dos, et ma ceinture avec diverses dagues. J'étais prête à me lancer dans une nouvelle enquête sans que personne ne vienne ce fourrer dans mes pieds. Je claquais la porte de ma chambre, consciente que ma sois disant colocataire allait encore gueuler parce qu'elle était abîmée. De toute façon, c'était des souterrains en ruines non ? Je me suis diriger vers l'escalier et la luminosité du petit matin me frappa de plein fouet dans les yeux. Je du mettre mon bras pour me cacher le visage, juste le temps que je m'habitue à la lumière du soleil. Des papiers, des détritus et des autres babioles traînait dans la rue, soufflés par la force du vent. Aucun fondu à l'horizon, ce qui était rare étant donnée qu'on ce trouvait dans la rue principale, là ou d'habitude sa grouille de tordu qui veulent te manger. Je portais ma mains sur l'une de mes dagues que je saisie. Je la fis tournoyer dans mes doigts en jetant des coups de furtif autour de moi. Généralement ses bandes de tarés déboule en nombres juste pour une seule personne. Le bruit de mes pas raisonnait sur le macadams et les voitures flambés sentait encore le cramé. Habituellement, rien qu'au bruit de mes pas l'un de ses zombies m'aurait déjà sauté dessus, mais le silence et le faite de ne pas les voir étaient encore pire. Parce qu'on avait cette horrible impression qu'il n'était pas très loin et qu'il nous guettait. Des cris strident et des rires me fit sortir de ma pensée. Une bande de fondus s'approchait, tous déformés par un visage fou et remplit de plaie.
« Ne vous approchez pas ou je vous jure que la douleur sera tellement forte que même une nouvelle éruption solaire sera une caresse à coté ! » Les menaçait-je, l'oeil mauvais. Ils hésitèrent un moment, c'en fut assez pour que je décoche une flèche sur le premier. Elle attérit dans son œil et il ce mit à hurler les mains en l'air. Il ce mit à quatre patte et tenta de retirer la flèche tout en hurlant. Les autres hurlèrent et coururent vers moi. Je repris une nouvelle flèche de mon carquois, en reculant. Le deuxième la reçu dans la tête, il tomba à la renverse. Les autres fut assez énervés, et je du me mettre à courir car la plupart n'étais pas encore lent. Je traversais la ville en courant, les immeubles défilaient à une allure rapide, mais je pris pas le temps de m'arrêter pour les contempler. Je tentais d'attraper l'une de mes flèches en courant, mais elles bougeait tellement que je piquais le doigt. Une finit par ce rapprocher de ma mains, je la saisie aussitôt. Bondant mon arc, je me retournais en visant l'un des fondus qui la reçu dans la jambe. Il ce déroba et roula sur le sol avec quelque un de ces congères qui l'avait percuté. Je ne fis même plus attention au paysage, en faite, je n'avais pas remarquée que les grattes ciels avaient disparu. Le sol n'était que poussières et des arbres encore vivants ou brûlés défilait autour de moi. Je repérais une espèce de grotte au loin, avec de grandes colonnes en bois qui la maintenait. Plus je m'en approchais, moins cela ressemblait à une grotte. Ca ressemblait plus à une espèce de mine. Des poteaux de bois encadrait l'entrés, comme pour retenir la terre qui menaçais de s'écrouler. Je retournais la tête, les fondus les plus traînard – donc les plus atteint – marchait plutôt lentement en poussant des lamentations, des cris et des grognements. Les plus rapides en revanche, me donnait du file à retordre pour les semer. Temps de monde pour un si petit gabarit comme moi. S'en était flattant. Je me suis alors dirigés vers la mine. Qui sait, peu être je réussirais à les perdre dans les tunnels. Entrer dans une mine n'était pas vraiment réjouissant pour moi. Je trouvais cela flippant et sombre, surtout avec des rats. Je m'engouffrais à l'intérieur, le sol avait été fait de bois et mes pas retentit dans une résonance lourde. Dégainant mon arc, je décochais une première flèche dans le crâne d'un vieux débris, puis une seconde dans le cou d'une femme. Voyant que les autres ce rapprochait à une vitesse folle, je me suis enfoncer dans la mine. Il faisait tellement noir que je ne voyais pas ou je mettais les pieds. Au bout d'un moment, je ne sentais plus le sol et je dévalais une pente. Ma tête à heurter quelque chose de dur m'arrachant un gémissement. Derrière, j'entendais les fondus qui continuait de courir en hurlant et rigolant.
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Une douleur vive tambourinais mon crane, comme si j'avais un cœur qui tentais de s'arracher de cette prison. J'ai relever durement la tête, portant une mains sur mon front. Je sentis un liquide chaud perler. Des étoiles dansaient devant mes yeux, tandis que des tâches noirs brouillait ma vision. J'attrapais la parois du mur pour me relever. Les cris des fondus c'était tut, sois ils c'étaient éloignés, soit certains ce sont entre tués. Mais le temps que je comprenne ma position, un bruit vers le haut attira mon attention. Un homme descend la pente avant de venir ce planter devant moi. Mon cœur bat vite dans ma poitrine, et je sens la peur venir s'insinuer en moi. Je cherche mon arc des yeux, mais il a glissés trop loin de moi pour que je puisse le saisie. L'homme était tous ce que je redoutais : Grand, mais tellement que c'était juste une montagne face à moi. Il était imposant, ils devaient sûrement cacher une paires de muscles saillant derrière ses affaires. Ces cheveux sont long et bouclés et ses yeux d'un noir corbeau. Je le fixe, ne sachant que dire. Il ce plaque contre la paroi rocheuses et baille sans retenu. Mais je n'y prête pas attention, c'est plutôt ce qui l’amène qui m'inquiétais. Il ce mit à grogner, plaidant que cette mine lui appartenait. Dans ces cas là nous avons deux types de personne. Soit c'est un fondu en première phase quo va essayer de me tuer, soit c'est un homme qui tente de survivre et qui me prend pour une fondu également. Deux choix s'offre à moi, fuir ou me défendre. Il semblait fatigué, comme si il n'avait pas dormis pendant des semaines. Mais la lueur dans son regard révélait une tristesse profonde. Comment je le sais ? J'ai appris à bien observer les gens. Et quelque chose me disais que son comportement était du au passé. Je ne répondis pas, je le quittais pas des yeux, et je déplaçais légèrement ma mains vers une de mes dagues. Il baissa un moment la tête comme perdu dans ses songes, avant de la relever et de me demander qui j'étais. Etait-ce raisonnable ? De toute façon j'étais coincé ici, je ne voyais pas comment remonter cette pente abrupte. Sa voix était si faible, que j'avais eu peine à entendre sa question. Ce changement de caractère était déstabilisant. Je cherchais une réponse convenable quand une douleur fulgurante ce dispersais dans ma colonne vertébrale. Le choc qui ce répandait dans mes membres telle un raisonnement. J'avais le souffle coupée. Il m'avait complètement déplanter du sol et plaquer contre le mur. Je lâchais un hurlement de surprise avant de me débattre sauvagement. Mais sa force était trop grande pour une si petite personne comme moi. Je décidais donc d'attaquer par les endroits sensibles. Je lui lançais un regard hargneux avant de lui mettre un bon coup dans les bijoux de famille. Je profitais de sa faiblesse pour me défaire de son étreinte et choper mon arc. Je récupère une flèche que je glisse sur la corde. Première option. Fondu.
« Encore un acte de ce genre et j’envoie cette jolie petite flèche dans ton crâne de gros dur.» Le menaçais-je. Je reculais le plus loin possible de lui et effectuais un rond pour le contourner. Je gardais la flèche pointer sur lui, ne le lâchant pas d'un cil. « Maintenant tu vas m'écouter. Sois tu t'assagis et je baisse mon arc, sois tu prend la mauvaise décision et je tire.» Reprenais-je aussi sèchement que possible. Heureusement que les hommes ont une partis sensible ! Non franchement je vois pas comment j'aurais pu m'en sortir si ils avaient pas été sensible à ce niveau là. Et j'étais assez maligne pour pas me faire tuer bêtement. D'ailleurs je pense pas qu'Aria aurait été d'accord de me voir tuer par quelqu'un d'autre. J'étais coincer ici avec lui, je ne pouvais pas remonter la pente et le seul choix qui s’offrait à moi c'était de devoir continuer dans cette mine sombre. Des rails conduisait dans un long tunnel. Mon corps était endoloris. A cause du choc de ma dégringolade, mais aussi à cause de ce stupide mec qui n'avait rien trouvée d'autre que de me balancer contre un mur. De plus il avait doublé ma douleur au crâne et j'avais la colonne vertébrale en feu. Pourtant, je trouvais encore le courage de le menacer avec mon arc, comme si sa allait changer la donne. Je priais pour que ma menace face effet. J'étais capable de tirer, mais si il n'était vraiment pas un fondu ce sera dommage de tuer quelqu'un qui à des chances de survivre. De plus, ont pouvait collaborer à deux pour sortir d'ici en prenant le chemin de la mine. J'étais à peu prêt sur qu'il devait y avoir une deuxième sortis, mais aussi que cette mine grouillais sûrement de fondu qui n'attendais qu'une chose : Nous bouffer. Je plongeais mon regard menaçant dans le noir encre de l'homme. N'empêche, il devait bien souffrir. Mais je m'en voudrais pour rien au monde : Il l'avait mérité. J'avais toujours eux ce caractère, celui de ne jamais me laisser faire. J'avais pas eu le temps de m'habituer à la vie Américaine que le monde était déjà en apocalypse. Et les gens savaient que je ne venais pas des Etats Unis, parce que j'avais mon accent britannique qui rappelais ma ville natale : Londre. Le silence retombait dans la mine, l'air avait bu mes paroles comme de l'eau de roche. Je pointais toujours ma flèche sur lui et mon cœur faisait des bonds dans ma poitrine.
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Il avait mal. Il ce tenait les partit génitales avec un petit gémissement. Je ne le quittait pas des yeux tandis que mon cœur s'affolait. Mon bras commençait à trembler, étant fatigué de bander l'arc. Il ce releva finalement, peu être que la douleur avait disparu ? Je repris la pression de mon bras pour étendre la flèche le plus loin possible, même si je sentais une petite douleur s'enflammer dans mon poignet. Le faite de puiser autant de force commençait à m'essouffler. Mais dans ce monde il ne fallait pas paraître faible une minute ou ont était fichu. L'homme au cheveux de braise – oui je trouve que c'est un magnifique surnom, pas vous?- planta son regard dans le mien et j'y lu de la sincérité dans ses paroles. Il voulait juste sortir d'ici tout comme moi et savait très bien que le seul moyen d'y parvenir était de s'entraider. Je ne relevais même pas au surnom qu'il m'avait donné. Mon accent était tellement appuyé que dès que je disais un mot, les gens devinait aussitôt d’où je venais. Je m'en plaignais pas, j'aimais mon accent British. Ces mains glissèrent vers son arbalète, mais son regard n'était pas tournés vers moi. J'entendais des gémissements et des divagations juste derrière moi et la peur me pris. Il était concentrer et décocha une flèche qui me frôla la joue avant de venir ce planter dans le crâne d'un fondu. Je tournais la tête pour apercevoir le regard fou du zombie. Il me fit un petit sourire avant de tomber sur le sol inerte. Je me retournais vers l'homme. Il m'avait sauvé la vie. Je baissais mon arc tout en ne la quittant pas des yeux. Je ne disais pas que je lui faisais totalement confiance, mais maintenant je serais plus attentive. Il reprit la parole avec amusement, me priant de le baffer la prochaine fois plutôt que de lui donner un coup pied là ou vous savez ? J'émis un petit sourire satisfait et amusée.
Ca n'avait rien de drôle pour un garçon, mais cela prouvait que je pouvais me défendre malgré ma taille de lutin et mon accent britannique. Puis il plongea son regard dans le mien avec un petit sourire. Encore la même question, il ce plaignait parce que je ne lui avait pas répondu. Et il me prit de court en révélant son identité. Il allait même jusqu'à me dire son âge, comme si c'était important maintenant. Je souris malgré moi, il était drôle. Mais pour ce qui es du prof de physique, j'haussais les sourcils, surprise. Sérieusement, ce gars était trop beau gosse pour faire un prof de Physique. Celui que j'avais eu, et cela remonte juste avant les éruptions solaires, était un vieillard complètement intéressant. Non franchement je pense pas que je me ferais à cette révélation. J'hochais la tête, il était temps que je lève le voile à mon tour. Je laissais mon arc pendre à ma mains, et la flèche dans l'autre.
« Oh chère Professeur, vous êtes d'un amusement ! Je m'appelle Séléna, j'ai 18 ans et j'étais étudiante à New York avant que les éruptions solaire débarque. Je pense que nous ferions mieux de ce dépêcher avant que les autres débarque.» Répondit -je, avant de bomber mon arc et de lui tourner le dos pour me diriger vers le tunnel. Je savais qu'il allait me poser des tonnes de question, je m'y attendais. Et le faite qu'il tripote une bague me disais qu'il était surement marié, ou qu'il l'avait été. Mais il ne m'en parlera que si il le désire, ce n'est pas à moi de m'en mêler. Je m'engageais dans le tunnel en tournant la tête de gauche à droite, vérifiant qu'il n'y es pas de fondu. Il faisait noirs et des gouttes tombait sur le sol. Cela ne me disais rien qui vaille. « Oh, est, sois gentil évite moi ce genre de saute d'humeur si tu tiens à ce que je t'épargne … Tu vois ce que je veux dire.» Ajoutais-je en lui jetant un coup d'oeil à ses partis intime. Je lui souris cyniquement avant de m'engager dans la suite du tunnel. Le bruit de mes pas raisonnait, et je pouvais déjà entendre les divagations de ses stupides monstres. J'entendais les pas de Stephen derrière mon dos, et cela me rassurait dans un sens. Finalement mes yeux finirent par s'habituer à la pénombre et je commençais à distinguer des rails sur le sol. Au bout du chemin il y avait un wagon de train. Dedans il y avait du charbon, encore frais. Les mines avaient t-elles été épargner ?
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Il me suivait, je percevais sa présence dans mon dos. Monsieur Physique me donna un jolie surnom en plus, je fus pas étonnée qu'il attirait les filles avec ce genre de g galanterie. Je relevais un sourcil avec une mimique malicieuse. Non, mon pote, je faisais pas de la physique, trop de blabla sur l'existence et trop ennuyant pour moi. « Etudiante en journalisme, Honey. » Répondit -je avec une pointe d'humour noire dans le dernier mot. Je secouais la tête désespérée. Puis je retiens mon attention vers le chariot. Que du charbon noir encore recent, comme ci rien ne c'était jamais passée. Cette mine donnait l'impression qu'il ne c'était jamais rien passée dehors, que tout était normal, que les gens vaguait à leur occupation. Un nouveau gémissement retentit prêt de moi. Une tête visqueuse cernés et plein de blessure me contemplait de ses yeux fou et écarquillés. Nos visage n'était qu'a un doigt l'un de l'autre. Avec un hoquet de surprise, je bondit en arrière et saisie mon arc pour lui dégoter une flèche, mais monsieur physique surgit soudainement entre nous, bloquant ma cible. Il lui donne un coup de pied dans le ventre. L'affreuse fondu à les cheveux qui vole dans le vent en même temps que son corps. Cependant elle réussit à blesser Stephen à la lèvre et je pense que cela à plus attiser sa colère qu'autre chose. Elle tombe contre le mur avec un affreux bruit de craquement, sûrement une cote. Je sais pas vous, mais j'étais quand même frustré qu'il m'est coupée ma cible. Comme ci j'avais besoin d'être protéger. Il asséna un premier coup sur elle. Du sang jaillit de son crâne, aspergent tout au passage, y comprit moi. J'ouvris la bouche complètement surprise, et passait mes vêtement en revue. J'étais couverte de sang. Je sentais les gouttes perler de mon visage. Il leva de nouveau son arbalète. « Non pas besoin de ... » Trop tard, il lui mit un deuxième coup et une double dose de sirop de fraise m’atteignit. Je sentis la colère me prendre et je le rejoint d'un pas énervée. « Non mais espèce de ... » Il s'approcha de moi et colla sa paume sur ma joue, éloignant quelque gouttes de sang qui roulait. Je lui mis une petite tape sur la mains histoire de la dégager. La dernière fois qu'on avait eu un geste de tendre envers moi remontait quand j'habitais à Londre. Je réalisais soudainement que ma famille me manquait. Qu'étais t-il devenu ? Des fondus ? Ou des survivants ? Si il n'y aurait pas eu d'apocalypse, je serais encore à la fac à l'heure qu'il est. Des nouveaux gémissement et délire me coupe de ma tirade. Je me stop net et mes yeux reste figés sur le fond du couloir. Des nouveaux zombies arrivaient et ils devaient être nombreux. Je cherche des flèches dans mon carquois à taton, quand une étreinte ce resserre autour de ma taille. Il va pas oser ? Pensai-je. Si. Il ose.
« Repose moi par terre, j'ai pas besoin d'être chouchouté ! » Hurlai-je dans ses oreilles. J'essayais de me dégager mais sa poigne était trop forte pour ma petite taille et ma force de mouche. Il me glissa derrière un rocher, tellement grand que j'ignore comment j'allais en ressortir toute seule. Cependant, l'armée des fondus approchait et je décidais de me taire juste le temps de les laisser passer. Je me mis dos contre la roche, assise l'arc à la mains et j'entendais les pas et les voix qui ce rapprochait. J'ignore si Stephen c'est caché ou compte jouer superman tout seul, mais si c'est le cas qu'il croit pas que je vais rester en retrait. Je jetais un coup d'oeil furtif dans un petit trou qui me permettait de voir la scène. Il était caché. Le groupe ce rapprochait et ce temps d'attente me fit angoisser. Ma respiration s'accélérait et mon cœurs frappait ma poitrine. Je respirais lentement et silencieusement en fermant les yeux. Plus que trois pas et ils seraient là. Un. Deux. Trois. J'entendais chaque mot de leur pitoyable bouche. Blair. Blair. Toujours ce même mot. Certaine rigolaient au éclats tandis que d'autre ce plaignait d'avoir faim. Le bruit de leurs pas martelaient le sol comme un grondement. Bientôt, ca ce fit silencieux. J'osa jeter un nouveau coup d'oeil au trou pour voir un retardèrent ce faire achever par Monsieur Physique. Stephen. Je sentis pas colère remonter d'un coup tandis qu'il apparu de nouveau pour me dégager. Il s'excusa. Trop tard. Je lui assena un coup de poing en pleine mâchoire, le regard incendiant. J'ai horreur qu'on me frotte la tête comme une gamine de 5 ans. « Toi ! Il va falloir qu'on éclairs certain point, Monsieur Physique ! De un, je n'ai pas besoin d'être défendu, je peu me faire une meute à moi toute seule ! De deux, si j'étais aussi faible que tu le crois, j'aurais jamais survécu face à cette bande de cinglé qui ont bouffé ma meilleur amie y'a pas longtemps ! J'ai déambuler pendant des jours entier toute seule dans cette foutu ville et je n'ai pas laissée un seul de ses malade me toucher ! Alors le solo, ca va bien une minute, ne me traite pas comme une gamine faiblarde je suis capable de me défendre ! » Eclatais-je en hurlant, les bras dans tout les sens. Je pris un grand bol d'air, j'avais oubliée de respirer. Maintenant que toute ma colère était sortis, je ne pouvais que lui lancer des regards noir, étant trop essouffler pour continuer de le blâmer ainsi. Je me suis rendu compte que trop tard que j'avais accidentellement révéler la mort de June. Merde ! Maintenant il va vouloir en savoir plus.
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Je le comptemplais les traits dur, et plutôt énervée. Mais sur son visage passèrent diverse émotion qui me dit de ne pas l'ouvrir pour l'instant ou il me réduirait en charpie. De la colère, de la tristesse finit par un soupir. Finalement, il ne me lança pas de balle en retour. Il voulait juste me protéger parce qu'il c'était attachée à moi. Comment pouvont nous nous attacher d'une personne que l'on connait à peine ? Il ajouta en suite que je lui faisais penser à sa fiancé morte. Cela m'apparu comme une bombe. Mais bien sur ! C'est pour sa qu'il a l'air si renfermés et si sarcastique. En générale les personnes subite à des émotions pareil ont perdu quelque chose qu'il tenait énormément. J'étais peinée pour sa fiancé et je me sentis un peu coupable de l'avoir engueulé il y'a quelque minute. Et je trouvais cela aussi un peu bizarre que je lui faisais penser à une femme qu'il avait aimé. Depuis tout à l'heure il tournait et retournait le même anneau à son doigt. Tout s'éclaircissait maintenant. Je me demande même comment j'avais pas pu comprendre tout de suite. Les signes étaient là. Mais nous ne parlons pas d'un calcule à répondre, de toute façon celui ci était impossible à résoudre. Nous avons tous perdu quelqu'un à cause de cette foutu situation. J'avais appris y'a pas longtemps que la braise, la maladie qui touche les fondus, étaient dans notre corps. Cela me faisais plutôt peur de l'avoue. Je n'avais pas envie de développer des symptômes pareil à ses monstres. Vous m'imaginez en train de courir après Arya ou Stephen en voulant piquer leur nez ? Non franchement sa craint. Mais je m'occupais souvent l'esprit pour ne pas y penser. Stephen passa une main dans ses cheveux, ses grand yeux brun révélait une profonde tristesse et cela me faisait beaucoup de peine pour lui. Je soupirais à mon tour, m'apprêtant à répondre quand des bruits de pas et de ricanement retentirent de nouveau derrière nous. Oh non, pas encore ! Etait -ce ma tirade qui les avait attirer ou cette endroit grouillait vraiment de fondu ? Stephen ce mit à courir et je le suivis sans demander mon reste. Je commençais à être épuiser et je devais souvent passer ma mains sur mon front pour empêcher le sang de couler le long de mes yeux. Stephen trouva un wagon vide toujours sur les railles. Il était reliés par une corde qui l'empêchait de partir. Monsieur prof de Physique sauta à l'intérieur et je fis de même. Bon. On va pas dire que c'était petit, mais quand même, j'ai jamais été aussi proche de lui de toute ma vie que dans ce chariot. Je relevais la tête pour apercevoir ou était accroché la corde. Elle était reliés à un petit anneaux bien enfoncer dans le mur.
« Cramponne toi, j'ai une idée.» Fit-je, avant de dégainer mon arc. Je n'avais encore jamais tirer de flèche aussi minutieusement pour atteindre une cible difficile comme celle ci. En générale, tuer des fondu n'est pas difficile vue qu'il ce dresse devant moi. Mais là il s'agissait d'un petit anneau dans le mur. Juste la corde, je devais juste tirer sur la corde. Entendre les bruits ce rapprocher réveillait une panique en moi, mais je la chassais dès qu'elle ce montrait. Je pointais ma flèche vers la corde, fermais un œil et tira. La flèche rebondit sur le mur avant de ce loger dans une poutre. Rater ! Pestais-je intérieurement. Je pris un brin de respiration et tira la deuxième qui rompis la corde. Les fondus était maintenant visible, ainsi que leur odieux visage à moitié potable. Le chariot émit un grondement et il ce laissa glisser sur les railles. Il roula, roula, avant d'atteindre une vitesse si importante que je commençais à m'inquiéter pour la route. Les railles ce mirent à descendre, et wagon ce lança à toute vitesse dans la descente, comme dans un manège. Je me cramponnais de toute mes forces, ont avait semés les fondus, mais maintenant comment arrêter le chariot ? Les murs de la mine s'élargissait, jusqu'à ce qu'il n'y est plus de mur du tout, mais une grande grotte hyper profonde, avec un merveilleux précipice juste en dessous de nous. Un fondu ce trouvais au milieu de la route, quand il nous aperçu il ce mit à hurler. Je dégainais une flèche et il tomba dans le vide. Les railles s'étalait sur plusieurs mètres. Mais ce que je vis fut comme une douche froide : Plus de route. Plus de raille, que du vide. Je me tournais vers Stephen.
« Qu'es ce qu'on va faire ? » Demandais-je, proie à la panique. Trop tard. Le chariot vola dans les airs avant de ce fracasser contre les parois du mur. Je me pris sauvagement la pierre froide et humide. Ma tête ce mit à me lancer et j'avais l'impression d'entendre des brouahahas. Ma mains ce cramponna à une prise, et j'étais suspendu dans le vide. En haut, juste en haut, il y avait une sortis. Je cherchais des yeux stephen. J'essayais de grimper en remontant la jambe, mais la hanche me fis affreusement souffrir. Le sang qui coulait sur ma tête perlais le long de mes joues. Bonne nouvelle, mon arc et mon carquois étaient toujours accrochés à mon dos. Mauvaise nouvelle, j'avais perdu toute mes flèches dans le vide. Super, t'en a d'autre, des idées comme ça Séléna ?