ϟNom: Pryde ϟPrénoms: Godric Villin ϟÂge: 23 ans ϟNaissance: 06 juin ϟGroupe: Créateur ϟEmploi (ou ex-emploi): Génie informatique au WICKED, Leader d'une secte religieuse ϟParticularité: Fin manipulateur, mégalomane, (un peu) tatoué, entend des voix lui dictant ses actions ϟDe quelle couleur sont les étoiles ? :Validé par Tom Marvolo Riddle ♫
Caractère et Physique
Il est beau Godric. Beau comme les anges. Beau comme les Dieux. Divin enfant, étrange lueur dans ce monde dévasté. Il est resplendissant Godric ; il brille comme le soleil qui vous brûle la peau, vous ronge les os, fais pourrir votre corps immonde. Il est splendide le garçon ; il le sait. On le lui a tant répété, dans ses jeunes années, quel magnifique bébé ! quel enfant superbe ! quel adorable petit garçon ! Il a baigné dans les éloges Godric, a bu la tasse dans un océan de compliment. Il est éblouissant Godric, il le sait. Il n’est pas aveugle l’angélique, il l’a vu, la sublimité de ses traits. Miroir, miroir d’argent, dis-moi que je suis le plus beau. Il passe des heures à se contempler, l’enfant choyé, se perd dans le reflet chocolat de ses yeux, caresse jalousement du bout des doigts les courbes de son visage, effleure précieusement ses cheveux parfaitement lisses, ses cheveux aux couleurs café, breuvage hors de prix dans un monde dirigé par les privilégiés, contemple cet être séduisant que la glace lui renvoie. Il en a les larmes aux yeux, le magnifique, lorsqu’il observe cette épatante beauté. Et tel Narcisse, Godric se mit à aimer son propre reflet. Tel Narcisse, il en tomba éperdument amoureux, de son image. C’est le début d’une passion véhémente, d’une romance intense. Une romance incongrue. Une romance étonnante, extraordinaire et pourtant aussi réel que n’importe quelle histoire d’amour, tant que l’amour existe dans cet univers au bord du suicide. Personne ne l’aime plus que lui ne s’aime. Il ne peut aimer personne comme il s’aime, le pauvre homme.
Il brille Godric, brille d’une lumière sale comme brillent ses bijoux hors de prix, comme brille son or qui vous nargue, vous, tas d’ordures, êtres inférieurs, vous qui ne valez rien, vous qui mangez du sable, qui ne savez pas vous payer plus qu’un repas de chairs putréfiées. Son âme aussi, elle est sale. Salie par les crimes les plus ignobles, souillée par le péché. Une âme noire comme les enfers. Il est beau Godric, mais seulement de l’extérieur. À l’intérieur, c’est la vermine qui le ronge. Derrière son masque splendide, Godric, il est immonde.
Il aime le jeu Godric. C’est un joueur ce garçon-là, doué. C’est le plus grand des manipulateurs, un marionnettiste de talent. Il aime jouer à Dieu cet arrogant enfant. Il aime manipuler, manipuler les vils pantins que vous êtes, manipuler vos misérables existences ; que valent-elles de toute manière ? De la poussière peut-être. Vous êtes inutiles, lui ne l’est pas. Il aime jouer avec vos sentiments, le malin, vous voir souffrir du mal le plus infernal. Un jour frère, ami fidèle, amoureux transi, confident. Il récolte vos désirs, vos peurs, vos faiblesses. Et vous, vous ne vous doutez de rien. Il joue trop bien son rôle, Godric. Alors il profite de votre confiance aveugle pour vous détruire, à petit feu ou d’un coup fatal. Laisse-toi bercé par ses paroles dorés. Quel orateur, Godric ! Laisse-toi charmer par son imposante présence. Tombe, tombe, tombe dans ses filets. Souffre moins que rien.
Godric, c’est un monstre. Un monstre qui prêche la bonne parole et qui pourtant se couvre des péchés les plus immondes. Esthète, il tente de les dissimuler sous un manteau de splendeurs. Il s’entoure de belles choses, de belles choses uniquement, pense pouvoir les garder secret sous l’éclat de la beauté. Parce qu’au fond, il souffre Godric. Il souffre des crimes qu’il commet, des atrocités qu’il accomplit. Chaque méfait exécuté, il se l’est tatoué sur le corps. Ainsi, Godric n’oublie jamais l’être ignoble qu’il est devenu. À l’abri des regards, le malheureux pleure son inhumanité. Et celui né sous le signe du diable rêvait d’être ange. Mais il n’y peut rien, le pauvre homme. Il ne peut arrêter d’être mauvais car dans sa tête, sans cesse, des voix lui murmurent dans un souffle glacial des horreurs à réaliser. Ce n’est pas sa faute, à Godric, s’il est abject.
Histoire
Dans une chambre d’enfant, une chambre trop grande pour un si petit être, une chambre saturée de cadeaux et de jouets, de décorations et de richesses, de vêtement et de bijoux, un petit garçon se noie dans ses propres larmes. Assis sur son grand lit à baldaquin, coincé entre mille et une peluches, l’esprit flottant dans un arôme de fleur artificiel, parfum exquis, parfum puant l’argent gaspillé, un petit garçon pleure sa détresse. Son visage est crispé en une grimace atroce ; ses membres tremblent et sur sa langue, un goût de vomi mélangé au sel de ses larmes demeure. Ses mains pressent de la façon la plus désespérée ses oreilles, tentent de protéger ses tympans d’un son atroce que seul lui semble pouvoir entendre. Sur les murs se répercutent l’écho de ses cris, de ses plaintes, l’écho de sa douleur. Personne ne peut l’arrêter, ce pauvre enfant. Personne ne peut comprendre, personne ne peut le consoler. Pourquoi pleure-t-il, cet être malheureux ? Personne ne le sait. Il a pourtant une vie de rêve ce bel enfant, fils de Narcisse. L’argent coule à flots, la nourriture est en trop, une maman qui l’aime, un papa au WICKED, des domestiques à ses pieds, une allure de roi et une beauté irréelle.
« Qu’y a-t-il Godric ? Pourquoi pleures-tu ? » Ce sont ces voix. Elles parlent, parlent et parlent, ne se taisent jamais. Elles me disent des choses horribles. Elles me font peur. Mais tu ne peux pas les entendre, toi. Personne ne les entend. Tu ne me crois pas, n’est-ce pas ?
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Depuis sa tour d’ivoire, penché sur son balcon d’or et de diamants, de marbre et d’ébène, un adolescent exhibe à un monde dévasté une joie intense. Il est beau son rire, il est doux, charmeur, comme lui. Une larme de cristal roule le long de ses joues porcelaines. Son regard est fixé sur une scène des plus désolantes, une image atroce, un petit corps baigné dans le sang quelques étages plus bas. Dans ses sombres prunelles brille une lueur de folie. Il a arrêté de rire l’adolescent, à présent, et observe, un sourire aux lèvres, un gamin gisant à terre. Il aurait pu l’empêcher de sauter, le jeune homme au cœur de pierre. Il aurait pu courir et retenir cet être chétif, maintenant étendu au sol, couvert de son propre sang. Le monstre, cela faisait tant d’années qu’il poussait le petit être à quitter cette vie. Il a, des mois durant, tatoué dans l’esprit de cet innocent des mots noirs, des phrases de mort, d’immondes insultes. Tu n’es rien. C’est moi l’enfant choyé ici, c’est moi qu’on aime, pas toi. Tu m’as volé ma place, tu mérites la mort. Son dur labeur, au malin, avait porté ses fruits aujourd’hui. Aujourd’hui, perché au-dessus de lui, puissant et supérieur, il pouvait contempler le corps inerte de son petit frère.
Cependant, le soir, dans son palais doré, recroquevillé sur son trône, l’adolescent pleura. Il pleura une souffrance bien trop grande. Il abîma son beau visage, ce triste criminel, s’écorcha les pommettes de ses ongles manucurés, se frappait le front, les tempes, se griffa le cou, les jambes. Des heures durant, il se fit violence. Encore et toujours, il finit par porter ses mains à ses oreilles. Il essaie toujours, le pauvre garçon. Il tente en vain de ne plus les écouter ces voix terrifiantes.
« Qu’y a-t-il Godric ? Pourquoi pleures-tu ? » Ce sont ces voix. Dans ma tête. Elles ne veulent pas partir. Aujourd’hui, j’ai tué mon petit frère. Mais ce n’est pas ma faute, vous savez. Ce sont elles qui m’ont dit de le faire.
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Assis sur un canapé de velours somptueux, dans un habit des plus beaux, des plus élégants, un habit hors de prix, un habit à son image, entouré de bougies aux parfums multiples, les pieds posé sur une table de verre et d’or, le jeune homme admire en silence, les yeux brillants, sa pauvre mère. Les pieds de la malheureuse pendent sans vie au-dessus d’une chaise faite du bois le plus précieux. Ses bras ballottent le long de son corps inanimé. Autour de son cou, une corde empêche l’air de passer dans son œsophage. Son regard est vitreux, fixé vers l’horizon. Plus aucun signe de vie dans ses iris. Pas un bruit dans la pièce. Une seule respiration. Celle du vilain, lente et régulière. Il ne dit rien, l’affreux. Pas un mot ne sort de ses lèvres déformées en un abominable rictus. Il n’est pas mécontent de sa prouesse, le misérable. Quelques mois, quelques mots, ne penses-tu pas que le petit s’est tué car tu es une mère indigne ?, c’est tout ce qu’il a fallu pour la pousser à mettre fin à son existence. Pauvre femme rongée par le remords, jamais son âme ne trouvera le repos.
La nuit suivante, dans son palais d’argent, le prince du péché versa un torrent de larmes. Une fois encore, il souilla ses draps de sanglots répugnants. Il avait mal, si mal qu’il en devint malade. Il cria sa peine, hurla son chagrin, mais personne ne pouvait l’entendre.
« Qu’y a-t-il Godric ? Pourquoi pleures-tu ? » Je suis un monstre. Regarde ce que j’ai fait. Un monstre ! Mais ce n’est pas ma faute. Ce n’est jamais ma faute. Ce sont ces voix qui font de moi ce que je suis.
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Aujourd’hui, Godric n’est plus un enfant. Il est grand, il est beau, on le respecte, on l’écoute, on l’admire – quelle ironie ! On est fiers de ce beau garçon ; c’est un fort, un survivant ! S’ils savaient… Deux morts dans sa famille, deux traumatismes et le jeune homme n’en resplendit pas moins. Oh, s’ils savaient ! Il brille toujours Godric, scintille comme scintillent ses bijoux, son argent, ses chaussures cirées. Et il rit le malin, rit de la bêtise de ces pauvres âmes innocentes l’admirant. Qu’il est drôle de les voir contempler l’œil rutilant un être aussi pourri, de les voir ignorer les bons, cachés par l’ombre trop grande du vilain.
Aujourd’hui, l’affreux est entré au WICKED. Merci papa. Ses impressionnantes aptitudes en informatique, combiné à un don certain dans la parole et la manipulation lui ont valu une place de qualité au sein de l’organisation. Un être aussi exceptionnel ne méritait de toute façon qu’une place pareille. Il vaut mieux que tout le monde Godric. Et il aime être Créateur le pourri, oh oui il aime ça ! Godric, c’est le nouveau maître du jeu. Les blocards, ses nouveaux pions. Ses marionnettes. Ses nouveaux jouets à torturer. Droit de vie ou de mort, contrôle à distance de neurotransmetteurs, il ne pouvait rêver mieux. Que fera-t-il aujourd’hui, l’affreux ? Comment testera-t-il le mental de ces malheureux enfants ? Sera-t-il bon ou enverra-t-il ces pauvres adolescents dans les flammes ardentes des enfers ? Un, deux, trois, dix ; Godric, cette belle pourriture, a perdu le compte des vies qu’il a vilement enlevées en se distrayant dans le labyrinthe.
Cependant, certaines choses ne changent jamais. Godric rit la journée, pleure le soir. Sourit au soleil, exhibe son mal à la lune. La nuit tombée, seul dans son royaume doré, il inonde ses beaux habits blancs de larmes dégoûtantes. Il se noie en silence dans son éternel chagrin. Répugnant.
« Tu pleures encore Godric ? Pourquoi encore ces larmes ? » Regarde ce que je suis. Ce que je fais. Ces voix dans ma tête, elles m’ont pourrie jusqu’à la moelle.
J'AI PRESQUE FINI MAGGLE
Derrière l'écran
ϟPrénom/Pseudo: Judie, Judinounet, Judananas, Judie par ci, Judie par là ϟÂge: 17 ans (18 dans moins d'un mois, DON'T YOU DARE TO FORGET ) ϟDécouverte du forum: J'ai un talent tu vois ϟAvis sur le forum: ϟPrésence: Everyday, Every night ♫ ϟUn dernier mot: Merci à Lucas mon lama pour le vava de ma fiche et à Mahree le plus beau pâté pas frais pour tous les gifs que je vais pouvoir utiliser Et j'fais des bébés à Cian le sanguinaire
Dernière édition par Godric V. Pryde le Dim 1 Fév - 20:59, édité 5 fois
Le sadique arrive enfin !!!! (comme si on en avait pas déjà assez ... )
Wicked is good ? Mes fesses!!! Toi, tu t'es mise aux gifs JE SUIS SURE !
Il me tarde de lire ce petit roman Un pitit pavé bien emmené encore une fois ! Des bisous des câlinous et tu sais quoi Pas la peine de te souhaiter la bienvenue mais plutôt la RE-RE-RE-Bienvenue. Cette fois-ci au moins, tu ne tueras pas des enfants.
EDIT: Si je suis un cookie je risque de m'auto-dévorer. C'est de l'auto-cannibalisme my god.
Eh oui, joyeux noël mes cocos, un nouveau créateur pas très bien dans la caboche (et on n'en a jamais assez, jamais Plus il y en a, mieux le monde se portera )
WICKED is good baby, j'vais te le rentrer dans le cerveau, tu vas voir (j'me suis mise au gif hier parce que j'ai téléchargé la vie: photoshop. Donc j'pourrais faire des gifs pendant... 30 jours yeeee 8D Mais c'est pas fameux pour le moment )
Le plus beau des romans mon chaton, un roman sans une trace de vomi Des bisous des câlinous et bien plus pour toi aussi Et c'est vrai, j'ai mis fin à mes meurtres d'enfants en série cette fois-ci
Judie il aimerait bien que tu t'auto-cannibalisme, ça ferait un beau carnage Et en effet, pas du tout prétentieux pour un cheveux, juste amoureux de lui-même tu vois
xD S'te classeuh ! (Et puis le nom qui va bien, bien choisis moi j'dis !) En tout cas je te souhaite la re bienvenue 8D et puis bon courage pour ta fiche <3 (Une secte ? Quelle secte ? Dis m'en plus ) En tout cas j'ai hâte de lire la suite ! *sautille* Et puis parce que c'est toi... Je t'offre un petit gif ! C'est moi quand j'ai vus ta fichette ! (S'te SWAAAG) (Je suis un bon élève j'apprend pleins de trucs ) En tout cas ça a été un plaisir de grapher pour toi (XD Bad boooooy for ever ! )
WICKED IS GOOD, sisi Pourquoi personne il me croit? Faites comme Teresa voyons, graver le vous sur le bras
T'façon, après t'avoir fait l'amour, tu pourras pas dire le contraire Allya. Parce que je suis good au li, okay?
On rattrapera ce retard hein Allya ? Joyeux noël et future bonne anée dans mes draps
Lucas: Classe un jour, classe toujours mon chou (doooh, merci mon lama Ton compliment me va droit au coeur ) (Une secte? hohohoho tu en sauras bientôt très cher, patience patience )
Roooh ce gif Pour la peine, j'en mets un aussi, juste pour toaaaaa:
N'est-il pas hyper distingué ce kangourou?
Je t'aime pour toujours (et je t'aime encore plus pour le vava )
J'ai prit Cian pour venir t'accueillir dans les règles ma pitite Judinouchette/Godricouchette ! :3
Comme déjà dit : J'ADOOOOOORE TON PSEUDO !!!! J'ADOOOOORE TON AVATAAAAR !!!! J'ADOOOORE TOUT DE TOI !!!
Et Tom Felton est d'accord avec moi (ou peut être est-ce moi qui suis d'accord avec lui) :
Et je me laisserais pas faire par tout ces gens qui veulent t'avoir pour eux ! Qui veulent te prendre, te voler ! (N'est-ce pas Mahree, Lucas, Allya, etc ...) Car tu es a moi ... Tu es :
Bon, okay apparement ton petit Godric ne veut qu'une relation exclusive avec lui même ... Tu ferais une petite exception pour Cian, hein ? Dis ? Parce-que je crois que je vais fondre en larmes sinon (Et on ne fait pas pleurer Mamie Wendy voyons !)
Anyway. Dans tout les cas, on va bien s'éclater ... Et on va surtout bien éclater ces foutus tocards de blocards ! Ahahahah ! *rire pervers et un peu fou*
Faites gaffe à vous chers petits sujet du WICKED, Godric et Cian vont vous mettre la misère !
MON ÂME SOEUR, SI TU M'AIMES TANT, FAIS MOI L'AMOUR
(et t'façon, on peut jamais ne pas être d'accord avec ce Dieu vivant Tom Felton )
C'est un chemin périlleux Goll... Cian
mais si tu es prêt à tout pour m'avoir, je suis tiens mon chou
Nan mais je sais que Cian va apprendre à Godric à aimer autre chose que lui-même, je ne doute pas une seule seconde de son pouvoir à le faire tomber dans ses draps
Date d'inscription : 05/10/2014 Messages : 316 Points : 91 Localisation : Arpentant les bois aux heures perdues du jour ou dans un labyrinthe sans issue
^ état psychologique de ceux attendant cette fiche
Ce perso envoie du tonnerre de dieu, j'ai tellement hâte de lire la suite de l'histoire puis ta plume est toujours aussi belle Finis-nous cette présentatioooooooooon