Partagez

~ LIBRE ft. Alexander ~ Human relations can be hard sometimes [Terminé]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

MessageDim 27 Sep - 18:39


   
Human relations can be hard sometimes

Alexander ft. Libre  
   
Bien installé sur mon siège, assis devant mon écran avec un morceau de chocolat à la main, je ne cessais de regarder tout ces chiffres. J'étais là depuis des heures et j'étais toujours aussi admiratif. J'aimais vraiment ce travail, une vraie passion. Être bercé par des chiffres toute la journée, que demander de plus ! De temps à autre, je jetai également un coup d'œil aux caméras concernant le dédale. C'était la soirée, tout comme ici. D'un coup, je projetai mon siège en arrière, ce qui me fit reculer. Je voyais à présent les écrans de loin et un rire résonna dans la pièce. Un rire machiavélique, oui c'était ça vu que ça y ressemblait. De l'amusement aussi dedans ! Quels pauvres petits idiots ces blocards avec leurs petites cartes à la noix ! Ils n'étaient pas près de trouver une solution, ça c'était clair.

- Pauvres petits..., fis-je à haute voix d'un ton moqueur.

Je me mis à fermer les yeux pour les rouvrir à nouveau. Il me fallait tout de même une pause, car je sentais le mal de tête me monter aux tempes. Concentré et encore toujours concentré. “ Take some rest Alexander” m'aurait dit ma mère. Oui ma mère... Elle était si loin à présent... à l'autre bout du monde ! L'Europe ! Autrefois, elle vendait du rêve, mais à présent elle était aussi misérable que l'était l'Amérique.

Mes yeux regardèrent toute la pièce avec détail. J'étais seul et il était tard. Il fallait peut-être songer à rentrer non ? Mais je connaissais très bien ma réponse.

- Encore une petite heure, murmurais-je pour moi.

Quelque chose attira mon attention sur la caméra. Un blocard et une blocarde qui s'embrassait.

- Répugnant, chuchotais-je.

Je savais très bien que j'étais un drogué du travail. Je l'avais toujours été. Je fouillai dans ma poche et en ressorti un dollar. Je le levai vers le plafond et l'admirai avec intensité.

- Je t'aime toi tu sais...

Je soupirai d'aise. J'avais tout ce qu'il fallait pour être heureux. Un bon job et de l'argent. Mais je me sentais tout de même seul, mais si je ne l'osai pas très bien me l'avouer. Quoi de mieux que de rentrer à la maison avec une bonne petite femme pour servir mes désirs. Mais ça, je ne l'avais pas encore trouvé... un jour viendrait, j'en étais sûr. Mais avant il fallait régler des choses bien plus sérieuses. Quelqu'un était-il dans les parages ? Où bien étais-je le seul à traîner avec mon dollar à la main ? Mystère, mystère, mais j'appréciais le calme de la soirée.

   (c) made by panic!attack
   

   


Dernière édition par Alexander P. Wilkerson le Dim 15 Nov - 21:53, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas




Membre
Alessandro Fiorentino


Date d'inscription : 01/11/2014
Age : 24
Messages : 825
Points : 235
Localisation : Denverdeterre
Emploi : Professeure chercheuse - Directrice du département recherches neuronales



Carnet des Souvenirs
Âge : 27 ans
Relations:
Inventaire:




~ LIBRE ft. Alexander ~ Human relations can be hard sometimes [Terminé] Empty
MessageDim 4 Oct - 17:54







C'était la fin d'après midi, le début de soirée même, mais Hélène se trouvait encore au Centre du WICKED. Elle avait en plus de tout cela eut une journée épouvantable. Avec des collègues on ne peut moins doués. Elle avait du faire une grande partie de leur travail qu'ils eurent mal faits. C'était réellement agaçant. Et puis, quelques minutes plus tôt, elle recevait un message, le budget de son département, le département des recherches neuronales avait été revu à la baisse, et une baisse conséquente. Plus de dis pour cent en moins, c'était énorme et ne pouvait être toléré. Encore une fois, Hélène allait devoir user de son autorité sinon effrayante, efficace. Elle se rendait donc vers le quartier de ces puants de comptables. Ces gens qui ne travaillaient que pour l'argent et non pour la survie de l'humanité. Et la preuve, l'argent qu'ils voulaient retirer du budget du département d'Hélène, ils l'ajoutaient sans doute à leur salaire, ou quelque chose dans le genre, afin de rendre service à leurs intérêts personnels. Hélène en pouvait supporter ces hommes. En plus de cela, ils étaient d'une arrogance à tomber par terre, si un nom devait leur être donné, il serrait Narcisse. Enfin, Hélène ne pouvait arrêter de réfléchir à ce genre de remarque et poussa la porte du bureau avec énergie, sans toquer avant.

Ce fut comme si une tempête entrait dans la pièce, elle commença à chercher la personne la plus apte à répondre de ses actes et entra ensuite dans un bureau qui paraissait être un des seuls où se trouvait encore quelqu'un. Alors encore, la brune ouvra la porte en une seconde sans frapper. Elle y trouva un homme, à peu près du même âge qu'elle. Il était presque allongé sur son siège et Hélène aurait juré l'entendre parler tout seul en entrant. Elle n'en tint pas compte et commença à parler, d'une manière plus qu'autoritaire et pleine de reproche :

- Et vous, quel est votre rang dans ce département de comptable ?, elle le laissa à peine répondre puis ré-enchaina. Et bien c'est inacceptable, vous m'entendez ? Je viens du département des recherches neuronales, et notre budget a été revu. Il a baissé de dix pour cent, c'est énorme et cet argent nous est indispensable pour étudier les variables des cerveaux des candidats. Donc vous allez transmettre à votre supérieur, ou à je ne sais qui, de nous rendre cet argent qui nous revient. Ou vous allez même régler ça vous même si vous le voulez. Et sachez que si cela ne change pas, je reviendrai ici chaque jour pour récupérer cet argent pour les recherches.




Revenir en haut Aller en bas



MessageLun 5 Oct - 21:06

Bloup:


 
Human relations can be hard sometimes

Alexander ft. Libre  
 
Tranquille devant ces chiffres et je m'amusais à parler tout seul. Je pris le café à côté de moi et en bu encore une gorgée. Il était brûlant et cela faisait un bien fou. Je sentais déjà toutes mes cellules dans mon cerveau s'affoler. Mais plus pour longtemps. Un grand bam et des pas plutôt pas très espacés qui venaient du couloir... Encore quelqu'un à cette heure-ci ? Et bien ma question eut vite une réponse. Une grande femme à l'air furieux venait d'ouvrir ma porte en grand. Je me retournai avec mon siège et la regardais, stupéfait. Quelle jolie créature ! Pourquoi venait-elle me voir moi en particulier ? Qu'est-ce que la grande Hélène me voulait donc ? Je l'avais déjà pas mal croisé et à chaque fois que, je la voyais elle était soit en train de faire ce qu'elle faisait là maintenant, c'est-à-dire monologuer toute seule pour exprimer son mécontentement, ou bien rire. Deux attitudes très contrastées, mais pour une raison que j'ignorais, je préférais largement la seconde option !

- Hélène, ça faisait longtemps, fis-je d'une voix alors très calme lorsqu'elle eut fini de s'égosiller. Économiste, c'est différent.

Un silence s'installa pendant quelques secondes. Elle était vraiment très attirante et très impressionnante à voir, elle ne pouvait me laisser indifférent. Je mordillai ma lèvre, soudainement nerveux. Pas vraiment par ce qu'elle m'accusait – mon incompétence qui d'ailleurs n'existait pas- mais à cause de ce qu'elle dégageait. Du charisme. Je lui souris, toujours nerveusement. Mais de l'autre côté, pour qui se prenait-elle ?

- Écoutes, écoutes, j'y suis depuis des années et le monde de l'économie est comme ça ma chère. Il a ses hauts et ses bas.. c'est tellement passionnant.

Qu'étais-je en train de raconter ? La vérité certes, mais d'une manière un peu trop gentille.

- Tu ne pourrais pas comprendre.., rajoutais-je en me retrouvant.

Je jouais avec mes doigts puis je lui fis signe de s'approcher de l'ordinateur.

- Regarde, regarde.. cette courbe. Ce n'est pas la première fois que ça arrive, et 10% c'est encore acceptable. Ça remontera, c'est certain. Et puis il faut se faire une raison. Vu l'état du monde, cela ne va pas aller dans le bon sens, je trouve que nous nous en sortons pour le moment encore bien, même avec ce 10%. Tu t'es cru au pays des merveilles ? Un café ?, lui fis-je de suite après. Alexander P. Wilkerson, enchanté.

La clé dans le monde du travail était d'être sympathique pour que tout se passe bien. Montrer mon savoir et puis même le transmettre auprès de nouveaux gens, c'était la parfaite combinaison. Mais pourquoi avais-je montré qu'à moitié.. Alexander finalement ce soir ? Aucune idée.

  (c) made by panic!attack
 

 


Revenir en haut Aller en bas




Membre
Alessandro Fiorentino


Date d'inscription : 01/11/2014
Age : 24
Messages : 825
Points : 235
Localisation : Denverdeterre
Emploi : Professeure chercheuse - Directrice du département recherches neuronales



Carnet des Souvenirs
Âge : 27 ans
Relations:
Inventaire:




~ LIBRE ft. Alexander ~ Human relations can be hard sometimes [Terminé] Empty
MessageMar 27 Oct - 16:53







D'abord, ce comptable, enfin cet économiste parut gêné. Hélène n'aurait su dire par quoi et pour quoi et sincèrement, cela l’indifférait. Elle ne venait pas dans ces bureaux pour causer, et pas non plus pour rencontrer de la populace. Aussi elle fut étonnée quand l'homme brun et peu grand lui sortit son nom. Elle l'avait peut-être déjà croisé, mais jamais ne s'étaient-ils adressé la parole. Ce genre d'hommes collés devant leurs ordinateurs n'était vraiment pas son genre d'entourage. Alors elle ne quitta pas son air accusateur et énervé. Elle leva les yeux au ciel quand il rectifia la terme d'économiste, ce avec quoi elle chuchota entre ses dents :

- Quelle différence ?

Puis elle continua son interrogatoire. Elle regardait de haut l'homme qui assis sur sa chaise ne savait que faire face à cette tempête. C'était la volonté de Hélène, impressionner pour avoir ce qu'elle voulait. C'était simple et efficace en prime. Même après son long discours, le brun lui souriait toujours d'un air un peu bête. Elle ne prêta pas attention à cette attitude peu professionnelle et écouta plutôt les explications qui étaient apportées.

- Écoutes, écoutes, j'y suis depuis des années et le monde de l'économie est comme ça ma chère. Il a ses hauts et ses bas.. c'est tellement passionnant.

- Je me fiche bien du monde de l'économie, moi c'est le vrai Monde qui m'intéresse, pas une série de chiffres sans réelle valeur.

D'un coup, face à cette insulte envers les sciences économiques, l'homme se ravisa, son sourire disparu et il s'éleva un peu il fit comme si il n'avait pas été affecté et dit à Hélène qu'elle ne comprendrait pas, chose vraie. Hélène en voulait pas comprendre les rouages de l'économie et de ces choses si inutiles, ces choses qui avaient crées la perte du monde que connut chacun avant les éruptions solaires, la Braise et tout les malheurs suivants. Mais elle se pencha tout de même légèrement pour voir ce que l’économiste voulait lui prouver.

- Regarde, regarde.. Cette courbe. Ce n'est pas la première fois que ça arrive, et 10% c'est encore acceptable. Ça remontera, c'est certain. Et puis il faut se faire une raison. Vu l'état du monde, cela ne va pas aller dans le bon sens, je trouve que nous nous en sortons pour le moment encore bien, même avec ce 10%. Tu t'es cru au pays des merveilles ?


Certes 10% faisait peu comme cela mais c'était tout de monde diviser les revenus. Et sans revenus, comment pourrait-on payer tout le matériel nécessaire aux expériences ? Comment pourrait-on trouver un remède contre le virus si virulent et dangereux. Alors avant qu'elle n'explose, l'autre lui proposa habilement un café. D'en d'autre conditions, elle aurait peut-être acceptée, mais elle refusa là d'un signe de tête accompagné d'un mouvement de tête. Ce n'était pas le moment. Enchainant donc, ce cher économiste, qui restait pour Hélène un comptable, se présenta :

- Alexander P. Wilkerson, enchanté.


- Vous me connaissez déjà, apparemment. Cela étant, je ne suis pas venu ici pour faire connaissance. Dix pour cent, c'est un capital énorme pour le département des recherches expérimentales et nous ne pouvons nous le permettre. Nous sommes déjà très limité par le budget, si il devait baisser, trouver un remède ne serait même plus envisageable. Et non, je ne me crois pas Au Pays des Merveilles, Wilkerson, c'est bien pour ça que je ne peux pas tolérer une baisse de nos moyens.

Hélène fit tourner le fauteuil à roulettes pour que son interlocuteur soit en face d'elle ; elle se redressa et le transperça du regard. Elle attendait une réponse. Positive pour elle.




Revenir en haut Aller en bas



MessageMar 3 Nov - 17:36


Human relations can be hard sometimes

Alexander ft. Libre
La jeune femme me scrutait toujours aussi énervée. Pour qui se prenait-elle à la fin ? Elle était peut-être belle et sexy, mais elle n'avait pas l'air commode. Je compris aussitôt qu'elle n'avait aucune passion pour le domaine.

- Écoutes, c'est pas parce que tu n'aimes pas le domaine des autres que tu dois te sentir en mesure de critiquer, répondis-je cette fois-ci sèchement.

Elle me confirma son désintérêt en avouant que seul le vrai monde comptait pour elle, mais c'était ici qu'elle faisait erreur. Le vrai monde n'était plus rien et seuls les chiffres qui représentaient notre avenir comptaient. Elle se pencha vers moi pour écouter mes explications sur la question. Par la suite, la jeune femme refusa de prendre un café. Elle n'avait sans doute pas le temps et passait probablement en éclair pour m'impressionner en quelques secondes. C'était ça les femmes. Toujours à vouloir faire leur effet en une claquée de doigts pour nous laisser de nouveau seuls. Visiblement, elle insistait pour que je trouve une solution pour faire remonter le budget sauf que de nos jours, nous étions juste ici pour surveiller et non se comporter en magicien. Le monde état en faillite et nous n'y pouvions rien. Tout ce que nous pouvions faire, c'était limiter les budgets du WICKED.

- Et bien limitez les dépenses. Trouvez d'autres solutions moins chères ma chère.

Mais au fond, je savais que ce n'était pas possible. Les solutions et les expériences que nous étions déjà en train de faire représentaient notre seul espoir. Son regard noir me fusillait les yeux. Elle était vraiment tenace, mais qu'y pouvais-je ?

- Je peux instaurer un socle de limite pour le WICKED qui préviendra à chaque dépense la baisse de pourcentage. Et à partir d'un certain nombre ça sera bloqué pendant un certain temps pour permettre au taux de redescendre petit à petit. Voilà madame.

J'ignorais si l'unique solution que je voyais possible dans ma tête allait lui plaire, mais je m'en fichais pas mal. Depuis si longtemps, nous étions dans les ennuis et ce n'était pas demain la veille que tout allait s'arranger. Je regardais le plafond perdu dans mes pensées. Et dire qu'autrefois le monde était si simple...

(c) made by panic!attack

Revenir en haut Aller en bas




Membre
Alessandro Fiorentino


Date d'inscription : 01/11/2014
Age : 24
Messages : 825
Points : 235
Localisation : Denverdeterre
Emploi : Professeure chercheuse - Directrice du département recherches neuronales



Carnet des Souvenirs
Âge : 27 ans
Relations:
Inventaire:




~ LIBRE ft. Alexander ~ Human relations can be hard sometimes [Terminé] Empty
MessageDim 8 Nov - 12:07







- Et bien limitez les dépenses. Trouvez d'autres solutions moins chères ma chère.

Hélène avait su assez bien se contenir au début, son interlocuteur n'ayant pas été trop dérangeant. Mais cette phrase, la grande brune ne pouvait la laisser en l'air. Apparemment cet économiste, ou ce comptable - sincèrement, ne s'agissait-il pas de la même chose ? - ne comptait pas trouver une solution pour Hélène. Et il n'avait pas l'air d'être très loquasse et sympathique, en fin de compte. Alors dès la fin de sa phrase ayant été prononcée, Hélène leva les sourcils d'un air dédaigneux. Elle ne supportait réellement pas de se faire ridiculiser. Ses yeux lançait un regard noir, plein de reproches, des yeux qu'elles plongea dans ceux de Wilkerson afin de lui montrer son mécontentement. Et puis, en  l'absence de réaction elle se prépara à relancer une tirade. Elle n'en eut cependant pas besoin puisque l'autre repris en vitesse :

- Je peux instaurer un socle de limite pour le WICKED qui préviendra à chaque dépense la baisse de pourcentage. Et à partir d'un certain nombre ça sera bloqué pendant un certain temps pour permettre au taux de redescendre petit à petit. Voilà madame.

- Qu'est ce que ce charabia ? Je ne demande pas un plafond de dépense, j'exige que l'on me rende mes dix-pour-cent de budget. Avez vous des problèmes de compréhension ?

Hélène n'avait pu s'empêcher d'être aussi prise dans ses paroles, elle était excédée. C'était tout de même lamentable de voir le budget des recherches du WICKED baisser alors qu'il s'agissait de la fonction première du groupe. Alors, une idée lui vint. Car de toute évidence, c'était terminé, les budgets devaient être fixés ; bien qu'elle eut essayé de changer cela. Elle se promit qu'au prochain mois, elle se rendra dans ce département avant la publication des budgets afin de récupérer ses dix-pour-cent. Elle eut donc l'idée de questionner le Wilkerson. Car si elle ne pouvait changer les choses, elle voulait au moins en être informé. Alors elle demanda, avec moins d'autorité :

- Et pouvez vous me dire quel est ce département qui nous vole nos moyens ?




Revenir en haut Aller en bas



MessageLun 9 Nov - 22:51


 
Human relations can be hard sometimes

Alexander ft. Libre  
 
Un économiste ? Un comptable ? Cette jeune femme était en train de remettre mes compétences en question. Mes yeux se posèrent sur elle avec un peu plus de méchanceté. Pour qui se prenait-elle celle-là ? Hélène. Oui, une bien charmante Hélène, mais pourtant mesquine. Elle n'allait pas lâcher l'affaire de suite et exigeait encore un peu plus d'informations sur le WICKED et les fonds. 10% , oui elle était en train de dire que ma solution était minable.

- Elle fonctionnerait très bien madame. Instaurer un contrôle sur les dépenses du WICKED est la seule solution que je vois. C'est mon dernier mot. Je suis formel, nous ne pouvons pas réduire ces 10% aussi vite, vous savez.


Elle était têtue, car de toute façon, la jeune femme avait une autre idée en tête. Elle voulait que je mène ma petite enquête. D'après elle un des départements encaisserait trop d'argent ce qui réduirait considérablement les fonds que nous avions. C'était intéressant, mais je n'avais aucune idée de que cela pouvait être. Mystère...

- Et avez-vous une idée ? Si je ne m'abuse, vous êtes en train d'accuser un des départements sans avoir de preuves réelles. Ce n'est pas très professionnel ça vous savez.

Vous savez ? Étais-je en train de la vouvoyer à nouveau ? Et bien oui, étrange. Lorsque j'avais répliqué, j'avais esquissé un sourire provocateur. Tout du Alexander ça et je n'y pouvais rien. D'un côté, la situation m'énervait au plus haut point, mais de l'autre, je commençais à prendre un vrai plaisir à la provoquer de retour. Et je voyais très bien que cette jeune femme aimait me rendre la pareille également. Une vraie joueuse...

- En bref, vous désirez que je joue au détective pendant que le WICKED travaille sur de nouvelles expériences dont je suis censé bien encadrer pour savoir si le budget correspond bien à ce qu'il faut ? Mais tu sais,10 % chérie, ce n'est pas la fin du monde, il y a eu bien pire dans l'histoire. Bref, tu me la déjà dit que tu n'y connaissais rien, mais laisse moi te dire que ...

Mais à cet instant-là, je sursautai. La porte s'était fermée brutalement. Je me tournai très vite vers elle et le bruit. Quelqu'un était là. Étrange, il était très tard.

- Le WICKED a-t-il activé ses nouvelles caméras à l'étage inférieur ?, demandais-je. J'ai appris que nous avions investi dans de la nouvelle technologie il y a quelques jours de cela. Tout est bien en ordre ?

Quel changement de sujet soudain ! Mais le bruit était encore là, et je commençai à m'inquiéter. Je me levai et regardais dans tout le couloir. Personne.

- J'ai dû rêver. Il n'y a pas un chat dans ce bâtiment à part nous. Cela me fait penser que je devrais bientôt rentrer si je veux pouvoir jouer à Sherlock demain matin.

En disant cette phrase, je laissai échapper un petit rire à la fois. J'étais en train de me moquer du monde, mais who cares ?

 (c) made by panic!attack
 

 
Revenir en haut Aller en bas



Message

Revenir en haut Aller en bas


~ LIBRE ft. Alexander ~ Human relations can be hard sometimes [Terminé]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Naufragée | Libre
» Pour de vrai ou pour de faux ? [Isaac ft. ALexander] [Terminé]
» If you ain't scared ... you ain't human ! • Hestia
» Cap ou pas cap ? (Feat Alexander Y.Carter)
» La tranquillité ne dure jamais bien longtemps [Alexander]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Maze Runner RPG :: Rp's-