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Pas de repos pour les Héros ! [Hélène] [Terminé]

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MessageMer 7 Jan - 1:10


Pas de repos pour les Héros !
(prévert) ▽ « NEVER TRUST A HUG. IT'S JUST A WAY TO HIDE YOUR FACE. »
 


J'étais rentré y'a quelque jours déjà de ma grande escapade avec cette homme bizarre appelés Stephen. Je m'en souviens comme ci c'était hier. Oh bordel, je parle comme une grand mère, excusez moi. Je veux dire que je me faisais courser par la moitiés des fondus de la ville – si si je vous jure, ils étaient nombreux!- Et je pensais pouvoir leur échapper dans les mines. Mais quand je suis arrivés, le noir m'a assaillis et je le suis pris une de ses chutes je vous raconte pas. Enfin si, je vous raconte, enfin bref. Je me suis fais une belle écorchure au front, -toujours présente d'ailleurs, l'avantage c'est qu'elle saigne plus- et j'étais complètement assommé.Puis ce mec est sortis de nul part et m'a aidée à me relever. Puis bon, comme j'étais hyper méfiante je l'ai comment dire … Un peu menacé avec mon arc. Et il a mal réagit, genre il m'a plaquer contre le mur tel un sauvage sortit des broussailles. Ouai, lunatique le gaillard. Je lui ai donc collé un gentil coup de pied là ou sa fais mal chez les hommes. Pis nous nous sommes entraidés pour sortir de ces mines infernal. En passant par une horde de tordu, à un wagon qui a glissés sur les railles et qui nous a propulsé dans le vide. Si je pensais qu'un jour j'allais vivre un vrai film d'action, franchement. Donc tous sa pour dire qu'après m'être pris un mur et m'être rattraper de justesse à une prise pour pas tomber dans le vide, sa fais mal. Ma hanche me lançais encore un peu mais elle c'était calmée. Apparemment, j'avais passée une journée dans cette mine, plus une deuxième à arpenter les rues de chicago avec Stephen avant d'enfin retrouver le chemin du refuge. Je peu vous passez le savon d'Arya ? Non ? Bande de sadique. Beh Arya elle m'a engueuler quoi, jouant encore une fois le rôle de grande sœur protectrice avec moi. Résultat, plus de sortie pour le moment pour Séléna. Remarque, un peu de repos me ferais du bien. J'ai dormis comme je ne sais quoi pendant deux jours. Triste réalité : Elle avait postée un ou deux gars pour m'empêcher de sortir et elle a ajouter des barreaux à ma fenêtre. Parce que je pouvais sortir par ma fenêtre avant. Vive la prison ! Oui oui, j'étais passée par la fenêtre afin de sortir un peu, je suis tombée sur une horde – encore, je sais, ils m'aiment je crois- alors pour pas changer j'ai courru pour sauver ma vie et je me suis pris un de ses chocs. Je suis tombée à la renverse. Je m'étais pris un jeune garçon qui devait lui aussi courir pour sauver sa vie. Avantage : Il m'a porté en courrant jusqu'à un immeuble pour fuir les fondus. Inconvénient : La chute m'avait tellement sonnée que je m'étais carrément laissée porter. Sa aurait pu être un cinglé lui aussi. Donc quelque minute plus tard nous sommes sorties de l'immeuble, avant de tombée encore sur les zombies qui nous ont poursuivie jusqu'à un hopitale. C'était bizarre de voir un hôpital vide. Je compte pas le nombre de fondu qu'il y avait. Enfin voilà, ma vie est palpitante. Mais en tout cas j'ia toujours pas avancé sur la recherche du meurtrier de ma meilleure amie. Vous voyez, y'a un certains fondu que j'aimerais bien me faire, qui a tuer June, ma meilleure amie.

J'avais assez dormis, enfin pour ma part. Quand je mis les pieds par terre, je sentis ma hanche pesée un peu, ca devait être le médicament. J'ai ouvert la porte de ma chambre : le garde était partis. Bien ! Il était temps de ce faire une petite virée, je n'avais pas bougé de là depuis un certains moment. J'attrapais mon arc et des nouvelles flèches, parce que les anciennes son tombée dans le précipice. Je pris ma dague que je glissais prêt de ma taille et je sortis dans le grand hall. La plupart était sortis, sûrement à la recherche de survivant. C'est ce que faisais Arya généralement, il y avait une heure de la journée ou il cherchait des gens normaux, voulant ce réfugier chez nous. C'est comme sa qu'elle m'a trouvée. Bon, elle m'a pas trouvée dans une très bonne position, mais elle m'a trouvée quand même. Dehors, l'air était toujours aussi chaud. Pour pas changer. J'étais certaine que l'air allait redevenir comme avant, mais pas tout de suite. J'avançais lentement, même ci j'étais sur que sa n'allait pas être pour autant grâce à sa que j'allais échapper au fondu qui oseront encore ce montrer. La ville était déserte, sa aussi pour pas changer. Seule les papiers volaient le long des trottoirs, poussée par le vent. Les grands building fantôme, dépourvus de vie ce dressais autour de moi. Les voitures sans conducteurs étaient sois accidentés sois abandonnée. Cela me fit bêtement sourire : C'était sur le capot d'une voiture qu'Arya m'avait dénicher avec sa patrouille, en train de tirer sur les fondu qui voulait ma peau, essayant de m'attrapper. J'ai vraiment cru que j'allais mourir de jour là si Arya ne c'était pas pointée. Soudain, j'entendis un hurlement suivis de ricanement et de moquerie. J'armais mon arc et le pointais devant moi en avançant prudemment. Une fille était entourés de fondu. Tous la voulait, du moins, ils voulaient son blair. Son nez. Je savais pas qu'elle était leurs tripes avec les nezs, mais franchement ca devenait lourd. Je pris pas le temps de penser : Je tirais des flèches dans tous ceux que je voyais. Ils s'aperçus bientôt de ma présence et un groupe ce détacha pour venir vers moi. Je sortis ma dague et je la plantais dans le frond du premier venu. Je tirais une flèche sur le deuxième que je récupérais et plantais dans le coups du second. Je fis signe à la fille de me suivre et je me mis à courir dans la rue principale. Ma hanche commençais à me faire mal et mes membres étaient engourdis. Je cherchais un moyen de nous sortir de là sans ce faire rattraper par les tarés mentaux. Une statuette d'un ange très grande apparu dans mon champs de vision. J'eu une idée, une idée folle certe, mais c'est tous ce que j'avais. Je me retournais vers la fille.

« Vite grimpe, grimpe le plus haut possible ! » Lui ordonnais-je. Je m'arrêtais au pied de la statuette et tirais sur tout les fondu qui s'approchais, histoire de laisser à la fille le temps de grimper le plus haut possible. Je plantais ma dague dans le coup d'un fondu et mis un coup de pied dans le ventre du suivant. Je pris une flèche entre mes mains que je plantais dans le crâne d'un autre, et je la rangeais dans mon carquois avant de sauter sur la jambe immense de la statuette. Elle était tellement grande. La taille d'un arbre je dirais. Je me cramponnais au hanche, puis je pris appuie sur les seins – Pardon madame, je vous jure que c'était pas mon attention!- avant de me hissier sur l'une de ses ailes et de m'y assoirs. Je dégotais une flèche sur les fondus qui essayais de grimper. Mais ils étaient tellement lent que j'avais le temps de les achevers.

« Es ce que ca va ? » demandais-je à la fille entre deux tire.
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MessageDim 11 Jan - 16:39




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Pas de repos pour les héros

Les bruits des bottes claquants contre le sol résonnaient dans la rue. D'aucun aurait jugé que cet acte n'était pas prudent, suicidaire même. Car dans les rue de Chicago rôdent des "fondus" comme on les appellent, ceux qui ont été contaminés par le virus de la Braise. Ce virus a un effet simple. Il plonge ceux qu'il a contaminé dans une démence menant à la mort, amenant également des pulsions meurtrières.

Mais Hélène ne les craint pas. Elle a de quoi se défendre. Un revolver dans la poche arrière de son jean ainsi qu'une intelligence rare. Car bien que ces "fondus" soit des monstres assoiffés de sang, leurs cerveaux s'en voient peu à peu détruits par l'avancement du virus. Et Hélène sait comment les manipulés dans leur démence destructrice et meurtrière, car elle travaille sur le virus de la Braise depuis des années, en menant les recherches du WICKED autrement dit le "World In Catastrophe : Killzone Experimental Departement". Cette organisation cherchant un remède au virus, créée juste avant la chute des différents gouvernements.

Le cache de protection de l'arme à feu était enlevé et deux chargeurs remplis se trouvaient dans l'autre poche. Quatre balles avaient déjà été tirés. Pour éliminer quatre individus étant gravement infectés et qui souhaitaient plus que tout se régaler de la chair de la créatrice.

Celle ci replaça une mèche de cheveux derrière son oreille après cet petite agitation. Ils étaient châtains et attachés avec une grande pince à l'arrière de sa tête, pour laisser un grand champs de vision.

Mais alors qu'une nouvelle horde de fous arrivaient, une autre cinglé intervint. Elle commença à balancer des flèches dans les corps des infectés... Un moyen bien rudimentaire..., pensa Hélène. Elle, par contre, attrapa son revolver et annonça à ses assaillants, d'une voix calme et sans doute pas assez forte pour que l'autre fille qui ne semblait pas porter le virus entende :

- Alors, il y a deux solutions. Car sachez que..., un coup retentis vers un fondus qui avait sauté sur Hélène, il était encore pris de spasme post-mortels, elle repris donc ...sachez que je ne tiens pas à tuer. Donc soit vous..., un autre coup retentis pour la même raison ... vous dégagez, soit vous mourez.

Et à la dernière syllabe du mot "mourez", Hélène se vu contrainte encore une fois contrainte d'abattre un fondu. Elle avait toujours son accent, transformant les "r" en "l" et ouvrant les sons des voyelle.

Mais alors que les fondu n'avaient pas l'air d'avoir compris la menace d'Hélène, la fille inconnue s'approcha d'elle et lui ordonna de monter sur une statue. Mais pour qui cette fille prenez-t-elle Hélène ? Elle décida alors de se diriger vers la statue, elle pourrait ensuite partir en la laissant faire le sale bouleau. Et alors que, du côté de la statue, Hélène abattait encore quelques fous, l'inconnue se rapprocha et grimpa avec une grande agilité sur la statue en continuant de lancer des flèches.

Mais Hélène resta, sans vraiment savoir pourquoi, elle se sentait obliger de rester avec cette survivante qui paraissait... intéressante. Et celle ci, en pensant que celle qu'elle aidait était monté sur la statue, se retrouva à parler au vide.

Du bas de la statue Hélène tira une balle en l'air pour annoncer où elle était et elle répondit, toujours aussi calme, même si d'autres fondus commençaient à arriver :

- Eh ! A quoi vous croyez jouer ?


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MessageLun 12 Jan - 14:10


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C'est quand je suis montée sur la statuette que je me suis rendu compte qu'elle ne m'avait pas suivit. Je jetais un coup d'oeil en bas. Bon sang, mais qu'es ce qu'elle fait là ? Elle avait ressortit son arme pour tuer les fondus. Comme quand elle parlait dans le vide histoire de les stoppers. Elle avait jamais eu à faire à eux ou sa ce passe comment ? Je soupirais, pendant qu'elle me demandait ce que je croyais faire. Ce que je croyais faire. J'ai fallis rire, mais je me suis retenu. Tous ce que je croyais faire c'était l'aider, mais ont dirait qu'elle était d'une méfiance infaillible. Mais c'est quand je portais mon attention sur elle que quelque chose me choqua. Ces vêtements étaient propre, d'une très bonne qualités même. La plupart du temps, je me servais dans les boutiques qui était encore intacte et qui n'avait pas été carbonisée. Mais je sais pas pourquoi les siens avaient quelque chose de spécial. Peu être qu'elle ne venait pas d'ici ? Ou alors elle venait seulement de faire face à ce qui ce passait dans le monde ? Ou bien une idée me vain en esprit mais je n'osais y penser : Peu être qu'un vrai refuge existait ? Je veux dire, le genre de refuge organisée par le gouvernement lui même ? Ma tête réfléchissait à une allure plutôt rapide. Une nouvelle meute arrivait, ils étaient plus d'une dizaine. Je soupirais de nouveau, cette folle les attiraient. Avec son arme à feu. Pourquoi croyez vous que je me suis mise à l'arc ? Parce que les coups de feu raisonnent dans la ville. C'est comme ci ont mettais une pancarte dans le ciel en disant «  Eh ! Je suis là ! Diner gratuit venez tous ! ». Je décidais de redescendre de la statuette pour la prévenir. Je tenais pas à finir en charpie. Puis madame semblait avoir une bonne tête, le genre de bonne tête à claque vous voyez. Je plaçais minutieusement mon pied sur le nez de la statuette. Puis je mis l'autre sur son poignet. Je descendais ainsi assez lentement à cause de ma hanche qui me faisais légèrement mal. Une fois arriver en bas, je la tournais face à moi afin qu'elle comprennent à qu'elle point les armes à feu n'était pas la solution.

« Je croyais quoi ? Je sais pas, vous sauvez la vie peu être ? Vous pensiez pouvoir les raisonner alors qu'ils n'ont rien dans le cerveau ? Pitiez, c'est comme parler à des chèvre ! » Fit -je remarquer. « Et sa ! » Dit-je en suite, en lui prenant l'arme. « Ca, sa les attirent encore plus ! Pourquoi pensiez vous que j'ai un arc ? » Je lui remis son pistolet dans le creux de sa mains, avant de la dévisager. « Soient vous me suivez, soit vous rester là à mourrir bêtement. Parce que je doute que vous auriez des balles éternellement.» Les fondus étaient presque là. Je pris une de mes flèches et je visais le pied. L'un deux tomba sur le sol, servant d'obstacle et faisant en tomber d'autre. Sur ce, un dernier coup d'oeil vers elle et je décidais de remonter sur ma statuette. Si elle avait décider de mourir c'était son problème. J'agrippais le genoux, puis je pris appuie sur les pieds, avant de me tenir au bassin, de prendre appuie et je de retrouver sur la poitrine de la femme. Je tenais fermement la tête de la statuette et je m'installais sur son épaule. En bas, je voyais la fille et les fondus qui arrivait en masse. Forcément, a force de tirer elle a sûrement rameuter tous ceux de la ville. De là ou j'étais, je voyais un peu la ville de haut. Dans les rues, quelque fondu qui nous avaient pas entendu airais entre les poubelles. Les voitures abandonnés était de plus en plus sale et poussiéreuses. Je décidais de rester là sans rien faire, et de laisser la grosse meute arriver juste pour lui foutre la trouille et qu'elle voiyent à qu'elle point la situation n'est pas amusante. Oh moi ca va. J'avais l'habitude maintenant. Je savais comment il fallait agir face à eux. Mais elle, elle n'en avait pas l'air. Je lui donnerais surement un coup de mains quand elle me demandera de l'aide. Oui, c'est bien sa. Sauf si j'ai réussis à la raisonner. Bref, je me calais le dos contre l'oreille de la statuette, et allongeais mes pied en éventail sur l'épaule. Je gardais mon arc avec moi. Parce que je comptais quand même pas la laisser mourir aussi bêtement.
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MessageLun 12 Jan - 18:51




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L'inconnue eu l'air d'être contrarier par le fait qu' Hélène n'ai pas suivis son conseil et d'un air boudeur, elle descendue de son perchoir sans doute pour venir parler à Hélène, elle qui abattait encore les fondus arrivants, sans aucune expression sur le visage, comme si cela paraissait habituel, comme faire la cuisine ou marcher dans la rue. Il lui restait encore deux balles et deux chargeurs d'une quinzaine de balles. Elle les comptait et savait à quel moment elle devrait arrêter de tirer pendant 5, 2 secondes. Le temps de laisser tomber à terre le chargeur vide, en même temps de prendre le nouveau, d'actionner le mécanisme pour introduire la nouvelle cartouche et envoyer la première balle dans la chambre. Car maintenant, être scientifique signifie savoir manier les armes à la perfection.

La fille à l'arc eu finit de descendre et elle se rapprocha d'Hélène. Celle ci tira son avant dernière balle et la dernière balle fut envoyer dans la chambre. Alors que l'inconnue commença à parler, Hélène, tout en regardant et en écoutant celle ci, fit tomber au sol le chargeur vide, mais alors qu' elle prenait un nouveau chargeur, l'inconnue lui pris son arme des mains.

Hélène fut étonné. C'est à croire que la politesse était inconnue pour les gens vivants ainsi, entourés de fondus... La fille lui avait déjà fait une leçon sur les fondus, sur quoi leur parler était inutile, sur leur "fonctionnement", et maintenant, ç'en était une sur les armes à feu. Hélène souris quand elle évoqua le fait qu'elle utilisait un arc pour se défendre et elle attendit le moment où l'archère lui rendis son arme pour placer son chargeur plein, comme une réponse à sa remarque « Je doute que vous auriez des balles éternellement... ». Certes pas éternellement, mais bien assez pour faire ce que je dois faire., voulut-elle répondre, mais face à l'absence de contrôle de son interlocutrice, elle préféra s'en retenir.

Celle ci l'invita une dernière fois à la suivre sur sa statue, en envoyant quelques flèches. Par habitude, Hélène aurait complètement ignoré cette fille, mais cette fois ci, elle voulu pour en faire plus. Elle décida donc de lui faire un cadeau.

- Au lieux que moi je vous suive, ne voudriez vous pas me suivre, moi ? Découvrir des choses ?

Hélène savait ce que cela impliquait que de faire ceci avec une fille vivant comme celle ci, mais son courage et sa persévérance à vivre lui chuchotaient de le faire.

Pour pouvoir se faire mieux voir par celle qu'elle voulais, elle rangea son arme à feu dans sa poche, sans remettre la protection au cas où. Puis elle attendit le premier fou qui fondit vers elle, et elle le paralysa. Elle tenait dans sa main un couteau à impulsions électriques, une nouvelle arme du WICKED, bien efficace car en un coup cela permet de tuer l'ennemi en lui envoyant une décharge électrique, sans se faire découvrir par ses autres adversaires, l'arme étant pour eux un simple couteau.

Elle retira du corps sans vie le couteau et elle se vue vraiment heureuse d'être immune. Bien que le sang infecte de ces fous empestait, elle en abattait trois de cette manière, leur assénant des coup des pieds pour les calmer avant de les tuer. Il restait environs cinq fondus qui se rapprochaient et Hélène jeta un regard en arrière, pour voir la réaction de la fille à l'arc. Il devait paraitre bien fou de foncer ainsi sur des fous, mais Hélène savait tout d'eux, leurs faiblesses, leurs aptitudes, et surtout comment les rendre inoffensifs : la peur.


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MessageMar 13 Jan - 16:07


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Allongée, je regardais le ciel. Que ce serait t-il passée si le monde n'avait pas sombré ainsi dans le K.O ? Peu être que je serais journaliste à l'heure qu'il est. Je n'aurais jamais magnés les armes comme je le fais maintenant. Et surtout, je n'aurais jamais eu cette part sombre de ma personnalité qui est apparu. Quand ont voit des choses graves ont doit développer un certains sens de la survie. Du moins, depuis tout ce foutu bordel, j'avais remarquée que j'étais devenu méfiante envers les personnes que je croisais. Normal, la plupart était des personnes délirante atteinte d'une maladie. Bref, je regardais ma dague que je tournais entre les doigts, tandis qu'en bas, comme je l'avais prédis, la fille ne m'avait pas suivis. Elle rangea son arme et sortis un couteau qui étais électrique. Cela à vite attisée ma curiosité, je me retirais de ma position et penchais pour mieux regarder. Elle magna l'arme à la perfection. Elle tua plus d'un fondu qui ce dirigea dangereusement vers elle. J'affichais une grimace choquée. Pourquoi elle avait un fabuleux jouet comme sa elle ? Moi aussi j'en veux un. Ou es ce qu'on pouvait les trouvers, d'ailleurs ? Faudra qu'elle me donne une adresse, vraiment. Je m'assis sur l'épaule de la statut, de sorte que mes pieds pendaient actuellement dans le vide. La fille ce fit parfaitement à cette environnement j'avais l'impression. Comme si elle en connaissait plus que moi. Ce qui était assez perturbant, parce qu'elle n'avait pas vraiment l'air de s'y connaître. Et pourtant, il ne fallait pas ce fier au apparence. Elle me proposa de la suivre, afin que je découvre des choses. Je la dévisageais. Je ne la connaissais pas et elle me proposait de la suivre comme sa, comme ci de rien était et que tout était normal. Néanmoins, cette fille semblait connaître des choses importantes que j'ignorais. Des choses qui serait sûrement utile d'apprendre. J'hésitais. Cinq fondu fonça vers elle. Je dégainais mon arc et lançais une flèche sur le premier venu. Je descendis de la statut pour me planter face à elle. Vue qu'on avait l'air de faire la même taille ce ne fut pas trop difficile pour moi.

« J'en suis. Mais pas d'entourloupe, d'accord ? J'ignore à qu'elle stade de la braise tu en ai, et en générale les plus lucides sont les plus dangereux.»J'avais sortis sa naturellement, comme ci j'en connaissais un rayon alors qu'il y'a même pas quelque semaines je me cachais des fondus sans arme. Et je ne plaisantais pas. Les plus lucides étaient ceux qui était prêt à tout pour sortir de cette situation. Je me souviens qu'avec une fille, des gens normaux comme moi, qui ne devait pas avoir encore les symptômes, nous avaient enlever et attacher à une chaise. Ils n'étaient pas fou certe, mais ils étaient prêt à tout pour trouver un remède. Quand à moi j'avais pas vraiment d'opinion là dessus. Je savais pas à qu'elle stade j'étais, si je l'avais vraiment ou pas. Je pense pas vraiment qu'un remède existe, parce la situation se serait améliorer et les gens seraient redevenu normal. Mais une chose est sur. Je ne me voyais pas finir aussi délirante que ses zombies. Ceci dit, je lançais une nouvelle flèche dans la tête d'un fondu, tandis que je plantais ma dague dans la gorge d'un nouveau. Je portais mon regard sur le couteau électrique. Il était inscrit le mot WICKED dessus. J'ignorais ce que c'était et ou elle avait dégotée ce truc, mais ce magasin devait avoir des armes génial !

« Ou allons nous ? » Demandai-je.

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MessageMer 14 Jan - 15:01




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La proposition de découverte qu'avait proposé Hélène résonna doucement dans la rue, faisant répéter la phrase de plus en plus doucement. Et comme si c'était pour couper cet écho, l'inconnue lança une flèche, comme un signe voulant dire « Oui », qui alla se planter dans le front d'un des fondus. Bien qu'Hélène, avec son revolver, en aurait fait de même, elle s'en vu étonné de voir la précision avec laquelle tuait la fille qui descendait maintenant de sa statue. Hélène actionna alors quelque chose accroché à son pantalon, et une diode verte commença à clignoter discrètement.

Elle fit quelques pas, et comme si Hélène était venimeuse, elle resta à une distance d'une cinquantaine de centimètres. Cette fille était d'un naturel étrange, c'était ce naturel qui attirait Hélène. Un naturel qui ne pouvait être attaqué par la Braise : elle était trop intelligente. Certes, il lui manquait encore beaucoup de connaissances, mais son esprit était vif, réactif. Il sut peser le pour et le contre face à la proposition d'une inconnue, et sa réponse était claire. Cette réponse, l'inconnue l'utilisa comme répartit pour la femme qui souris à l'évocation de sa contamination inexistante par la Braise.

Chaque mot, chaque accent, Hélène analysait tout. Après avoir étudié pendant des années la science et le cerveau des humains, il ne lui était tout simplement impossible de ne pas analyser la réaction d'une telle trouvaille. Celle dernière était pressée, elle demanda où fallait-il se diriger. Hélène ne pût s'empêcher de penser à ce que devait être une vie ici, mais rejeta vite cette pensé, on lui avait appris à ne pas réfléchir pour des choses comme celles ci.

Alors elle fit quelques pas pour se trouver devant et sortis son téléphone en plaçant le couteau dans son autre main. Elle appuya sur une icône et un plan en 3D de la ville apparut en hologramme bleu lumineux. Elle montra ensuite de la pointe du couteau une sorte de place, très grande avec une sorte d'église comme il y en avait un siècle avant leur naissance.

- On va ici, annonça Hélène. Et on est ici, dans cette ruelle, elle désigna une rue très proche de la place. On a pas beaucoup de chemin à faire, pendant ce temps l'on pourra faire les présentations.

La place de trouvait encore plus au centre de la ville, à deux rue à droite et une à gauche, suivit d'une grande rue parallèle. Elle mis en veille son appareil, faisant disparaître la représentation de la ville et commença à marcher sur ses talons ne cessant de claquer.

- Alors, qui es tu ? Je me permets de te tutoyer. Par contre, je préfère que l'on me vouvoie, commença-t-elle avec un léger sourire, accentuant encore plus son accent.


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MessageDim 18 Jan - 1:28


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Je rangeais l'une de mes flèches dans le carquois, quand une petite lueur verte attira mon attention dans la poche de la fille. J'ignorais à quoi elle servait, c'était peu être un engin qui allait faire venir une voiture encore potable, non ? Peu importe, la fille sortis un engin bizarre qui fit apparaître un plan de la ville en 3D. La lumière émettait des petites lueurs sur on visage, et également sur le miens. Un large plan de la ville désignait absolument tout : Les monuments, les ruelles, même les parcs. Je n'avais encore jamais vue ce genre d'engin, je veux dire, c'était un équipement du futur ou quoi ? Peu importe, je me rendis compte que Chicago était une énorme ville et que je n'avais pas encore vues certaine zone. Elle me montra la ruelle dans laquelle ont ce trouvais, et ou on devait ce rendre. Il s'agissait d'une énorme place dans laquelle ont voyait une église. Il me semble que j'étais déjà passée devant. J'hochais la tête, et elle rangea son objet dans sa poche. Puis, elle propose de faire les présentation. J'hochais de nouveau la tête, finalement j'étais décider à découvrir qui elle était, et ou elle trouvait tout ses gadget utile. Moi aussi je voulais une énorme carte de chicago comme ça. Enfin, je voulais aussi son couteau électrique, parce que franchement c'était la grande classe, ont va pas ce mentir.

Je la suivis dans l'une des ruelles qu'elle avait indiqués. Je pris un mes deux dagues chacune dans une main, prête à me battre en cas d'attaque. Me battre à la dague était bien plus facile qu'un arc. Parce que l'ont peu tuer de loin, mais quand la personne est proche de vous, ca devient difficile de tirer des flèches. Alors que quand ont à deux dagues, ou bien une avec vous, il suffit d'être rapide et de donner les coups. Je savais même lancer mes dagues sur des cibles. A mes longues heures perdu dans le refuge, je m'occupais ainsi. Même si je n'étais qu'encore qu'une gamine au yeux de tous, je n'en étais pas moins adulte à l'intérieur. Et bizarrement, je me surpris à me demandée pourquoi cette fille ce donnait autant de mal pour me montrer des choses. Curiosité. Qu'elle vilain défaut tu es. J'avais la conviction qu'elle s’intéressait à moi pour quelque chose qui m'échappais encore. Mais je n'allais pas tarder à le trouver, tout comme mes questions sans réponses qui fusaient dans ma propre tête. La fille m'interrompis de mes pensés. Elle voulait que je la vouvoie alors qu'elle, elle me tutoyait.

« C'est l'apocalypse. Plus personne ne vouvoie qui que se soit.» Répondit-je d'un regard appuyés. Cela m'étonnais encore qu'on prenne le temps de discuter de ce sujet. Elle me demanda d'ou je venais et mon regard ce rembrunis. Je ne parlais jamais de mon passé à qui que soit. Cela réveillait de vieille blessure que je n'avais pas envie de confronter. Je laissais mon regard divaguer de nouveau tandis que mes pensés ce bousculait. Que lui dire sans qu'elle devine quoi que se soit ? De toute façon elle n'a pas l'air d'être sotte, je suis sur qu'elle ce doute que ce n'est pas facile pour tout le monde. Cependant, il était temps de faire les présentation, le silence avait trop duré et j'en avais assez de l'appeler la fille. Elle devait déjà ce faire une idée d'ou je viens avec mon accent britannique très prononcé. Bizarrement je n'avais qu'a dire un mot ou deux et les gens savaient aussitôt d'ou je venais. Ouai, j'étais de Londre, et franchement pas un jour ne se passait actuellement sans que je me demande ce qu'est devenu ma famille. Néanmoins, je brisais le silence afin de répondre.

« Je m'appelle Séléna, et je viens de Londre. Enfin, j'étais de Londre et je suis partis à New York pour devenir Journalisme.»[ Je me tut. J'en avais déjà trop dit. A son tour.
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MessageDim 25 Jan - 14:43




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Hélène ne pût s'empêcher de relever un sourcil quand celle qu'elle voulait lui déclara qu'il n'était pas envisageable qu'elle la vouvoie, utilisant comme excuse l'Apocalypse régnant d'après elle. C'est fou ça ! Même quand on propose de l'aide, aucune politesse ne peut être tenue , voulut répondre Hélène. Mais elle préféra se le murmurer interieurement.

Les deux commencèrent alors à marcher. Comme à sa demande, la jeune fille inconnue se présenta. Une présentation courte et rapide, mais évoquant l'essentiel... Bien que cette Séléna paraissait assez secrète et pas vraiment prête à révéler plus que son nom, ce pourquoi elle était ici et son son habitat. Mais, après tout, cela n'avait que peu d'importance pour la créatrice. L'important c'était le futur. Et comme signe de compréhension, elle hocha la tête. C'était à son tour de se présenter, maintenant. On ne peut dire que cela l'enchanta, car Hélène plus que n'importe qui gardait son passé bien pour elle. Non pas qu'elle en avait honte, mais car cela ne pouvait apporter à ses interlocuteurs que ses faiblesses, ce pourquoi elle s'était "battu" et pourquoi elle se "battait". Malgré cela, elle se décida, en cachant qu'elle n'en avait pas réellement envie :

- Hélène Mary Lopez, née à Kiev en Ukraine, recrutée par le " World In Catastrophe : Killzone Experimental Departement " et directrice des recherches neuronales. Je suis ici pour une mission classée secret intergouvernemental.

C'était une version très abrégée de ce qu'elle aurait dû expliqué, mais en vus du peu de connaissances de Selena sur le monde extérieur, elle préféra se limiter ici. Après tout il ne fallait pas la noyer sous les informations, au risque de la voir douter. Moins on en sait, mieux c'est., répéta Hélène dans sa tête. Une phrase qu'on lui avait répété des centaines de fois, mais qu'elle n'avait jamais su respecté. C'est ça être scientifique, toujours vouloir en savoir plus, sur tout. Et c'est comme ça que la créatrice avait découvert de nombreuses choses que certains ne voudraient pas voir éclater au grand jour, des choses dépassant toutes imaginations, des choses complètement paradoxales, oubliant ou dépassant toute logique...

Mais pour l'instant ces informations étaient coincés dans la tête d'Hélène et celle ci se trouvait à Chicago. Il ne restait plus beaucoup de chemin à parcourir, et son téléphone sonna. Elle appuya sur une icône et le message s'ouvrit. Il ne contenait que quelques chiffres et quelques lettres qui indiquaient une durée.

- Tout va bientôt changer pour toi., déclara Hélène.


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MessageDim 8 Fév - 21:18



« NEVER TRUST A HUG. IT'S JUST A WAY TO HIDE YOUR FACE. »



Je parcourais toujours les rues en compagnie d'une drôle de fille qui voulait absolument que je la suive. Elle semblait m'apporter une grande importance, ce qui me surpris énormément. Qui voudrait accorder autant d'importance à une fille comme moi, qui ne fait que défendre ça vie ? Finalement, elle finit par ce présenté mais elle ne semblait pas convaincu par mon histoire. Elle voulait en savoir plus, je le voyais dans son regard. Elle s'appelait Hélène Mary Lopez. Ont va faire cour, pour moi ce sera seulement Hélène. Mais la suite, je la loupa totalement. Je ne compris pas un mot de ce qu'elle venait de me sortir. C'est quoi sa, une entreprise ? Un gouvernement ? Un club avec des chouettes outils ? J'haussais un sourcil sans comprendre à ça remarque. Oui, c'était bien un gouvernement, surtout qu'elle semblait être très haut placée la cocotte ! On prit une autre ruelle, mais elle fut barrés par deux fondu qui fouillait les ordures. Oïe. Je voudrais jamais finir comme ça, quoi que c'était bien partit vue qu’apparemment tout le monde l'avait dans le sang. J'espère au moins qu'on est conscient de rien, je veux dire, qu'on ne se rend pas compte qu'on fouille les ordures par exemple. Je dégainais mon arc et tirais deux flèches dans leurs têtes. Puis, je les récupérais – parce que les flèches ça pousse pas sur les arbres voyez- et entrepris de ressuyer le sang sur les propres vêtement sales et abimés des fondus. Je les rangeais dans mon carquois et me tournais vers ma camarade.

« Gouvernementale ? Tu veux dire que le gouvernement existe encore? » M'enquis-je, étonnée.

Pourquoi es ce que je n'avais pas vue l'ombre d'un gouvernement à Chicago ? Pourquoi ils ne ce bougeait pas un peu les fesses pour nous débarrasser des fondus ou des gens infectés ? D'ailleurs, je n'avais pas encore vue l'ombre d'une seule personne ayant parlés du gouvernement. Si ça ce trouve, je me trouvais avec une fille délirante et infecté. Oui, tiens, qui me dit qu'elle ne vas pas me conduire dans une planque remplis de fondu ? Je cessais de penser à cela, après tout je devais lui faire confiance. C'est ça, la clé de la confiance. Prendre le risque de le faire. Elle me dit que les choses allaient bientôt changés pour moi. Je lui lançais un regard interrogateur sans comprendre. Comment ça les choses allaient changé ? En quoi je l’intéressais autant ? Je trottinais sur les talons d'Hélène. Des bruits inquiétant juste derrière nous me fit me retourner. Une porte c'était ouverte avec tout un troupeau de fondu qui fonçais sur nous. Bon beh. On fonce ? Je ne pris pas la peine de lui demandée, je courrais déjà. J'avais l'habitude courir maintenant, qui aurait pu croire qu'échapper au fondu faisais autant faire de sport ? Je vous assure, j'avais perdu beaucoup de kilos rien qu'en échappant à ceux qui m'avait poursuivis jusque dans les mines. Maintenant j'ai une bonne endurance, je peu courir plus longtemps que d'habitude. Les batiments défilaient à toute allure dans ma course tandis que derrière, des ricanement et des paroles grossières fusaient dans tout les sens. C'est comme ci l'énorme groupes dans lequel j'avais sauvée Helène était reconstitués et nous avaient retrouvés. Le rue ce termina et je me retrouvais dans le parc, fasse à un énorme avion. Avion ? C'et peu dire ! Ont aurait dit un vaisseau spacial ! J'étais complètement impressionnée par cette merveille que je ne connaissais pas, tellement que j'avais ralentis l'allure jusqu'à m'arrêter pile poile devant. Le noir ébène de la coquille scintillait avec le soleil. Bravo. Tu es belle et bien seine d'esprit, là dessus c'est sur et net.

« Ouah ! Cette chose est à toi ? » M'exclamais-je en la regardant avec des gros yeux brillant.



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Alessandro Fiorentino


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MessageVen 20 Fév - 17:36







Pas de repos pour les héros

La marche se poursuivait. La brève déclaration qu'avait fait Hélène paraissait avoir un grand impact de réflexion pour Séléna. Elle réfléchissait. Prenant son temps. Encore chose qu'un infecté ne pourrait effectuer. Le traitement des informations unes par unes, dans un raisonnement logique et structuré. C'est bien ce qui faisait penser que cette jeune fille était immune. Elle ne pouvait par porter le virus en elle. C'était tout bonnement impossible.

Une autre preuve en fut quand l'immune qui ignorait son incompatibilité avec le virus posa une question assez pertinente. Un gouvernement ? Elle croyait donc aux sottises que certains colportent sur quoi la terre serait un désert et où les seuls survivants seraient eux. Quelles absurdités. Mais c'est ce que souhaite le WICKED. C'est d'ailleurs certains d'entre eux qui ordonnent ces rumeurs. Les semant dans les villes les plus atteintes par le virus. Il serait dommage sinon impossible à gérer une arrivée en masse de personnes, infectés, saines ou immunes. Il serait encore une fois impossible de les gérer. Des problèmes se créeraient. Que se soit au niveau des personnes saines ou des personnes infectées. Pour les personnes infectées, on les cases en quarantaines. Enfin dans des bâtiments qui deviennent vite ingérables.

- Le Gouvernement comme tu le conçois sans doute n'existe bien heureusement plus. Par contre, un Gouvernement a été créé et gère ce monde. Ce gouvernement est dirigé par celle que l'on nomme la chancelière Paige. Une personne tout à fait respectable, qui oeuvre tout les jours pour sauver l'humanité. Le gouvernement qu'elle dirige est le WICKED, ce que je viens de t'expliquer. Et, je tiens à mon "vous".

C'était véridiquement vrai. La chancelière Paige était une femme admirable. Hélène l'avait rencontrée une fois. Ça s'était terminé d'une façon assez explosif. Les médecins du WICKED cherchent toujours à aller jusqu'au bout voyez vous. Alors que la chancelière est une personne humaniste ayant gardée ses valeurs et la façon de penser d'avant. Autrement dit, quand le choix des sujets pour les envoyer dans le labyrinthe a été présenté, il avait été rejeté directement. De longues négociation avaient été conduites par les médecins du WICKED, et ils avaient réussis à avoir l'accord. Après cela, la chancelière accordait et s'occupait plus facilement du WICKED. Non pas par intérêt, mais pour surveiller leurs agissements.

Des bruits attirèrent l'attention des deux femmes. Des fondus se tenaient là. Encore. Selena se décida à courir pour les semer. Bonne idée, car leurs handicaps mentale et neurologiques leurs procure une durée de réaction proche de quelques secondes. Cela lui permis de passer avec une vitesse considérable, sans que ces fous ne puisse se rendre compte de se qui se passait.

Hélène, elle préférait toujours rester tranquille. Proche de la place de rendez vous, Selena ne pourrait lui reprocher l'utilisation d'une arme à feu. Elle repris donc en main son pistolet. BANG ! BANG ! BANG ! Elle les abattait tout en faisant claquer ses talons sur le sol. Elle arriva à la hauteur de la jeune, stupéfaite devant la machine qui se tenait devant elle. Un berg. Elle demanda peut être sur le coup de l'étonnement si ce berg appartenait à Hélène. Celle ci répondit donc en rangeant son arme et en riant discrètement :

- On peut dire ça effectivement.

Une rampe descendit du vaisseau pour se poser à terre. La créatrice fit signe à Selena de monter en exagérant son geste par une courbure digne de la Renaissance. Puis elle se pressa dernière ce qui était son invité, maintenant.

Arrivé dans le "hall" de la machine, la rampe remonta et un mouvement presque imperceptible se fit sentir, faisant chanceler légèrement Hélène. L'appareil décollait.


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MessageMar 10 Mar - 23:15



« NEVER TRUST A HUG. IT'S JUST A WAY TO HIDE YOUR FACE. »




Hélène m'avait un peu prêt expliquer comment son gouvernement fonctionnait. Elle ajouta aussi qu'elle tenait à son '' vous. '' Ce qui me fit esquisser un sourire. Non non, je tenais aussi à mon ''tu.'' Mince alors. Même après une fin du monde elle souhaitait encore être vouvoyer quand même. « Je tiens à ''tu.'' » Une petite pique afin de l'ennuyer. Après la découverte de cette engin, je repris mes esprit. Des fondu arrivaient de nouveau et je ne devais pas me laisser distraire par un avion géant. Hélène répondit à ma question, comme quoi que oui, cette avion lui appartenait. Je tournais mon regard vers elle, avec le vent qui dégageait les mèches de mes cheveux de mon visage. « Mais c'est géniale ! » Je m'étais exclamée haut et fort, les mains tendu vers moi avec une certaine ardeur. Je devais avoir l'air d'une petite fille. Des murmures venant dans notre direction me fit reprendre de nouveau mes esprits, plongé dans l’irréalité. Je dégainais mon arc et lançais quelque flèche. J'entendis des coups de feux qui me fit tourner la tête. Peu importe, je toute manière je comptais m'envoler je ne sais ou alors. Une trappe de l'avion s'ouvrit. Je ne perdis pas mon temps et filait vers elle afin d'entrer à l'intérieur. Je fis quelque pas en courant avant que mes pieds ne heurte quelque chose de dur. Mes pas raisonnait sur le fer et j'entrais dans une immense pièce. J'ouvrais grand la bouche, complètement impressionnée. C'était vachement grand et beau. Hélène me rejoignit en quelque enjambée. Je tirais une flèche sur un fondu un peu trop proche d'elle, puis elle appuya sur sa télécommande qui referma aussitôt la trappe sur des visages offusqués et désespérée. Les moteurs ce mirent en marche, et je fallis tombée sur le sol. La machine décollait ? La dernière fois que j'avais pris l'avion, c'était pour aller faire mes études à New York.

« Cette engin est énorme. » j'avais dis ça sérieusement, tout en passant mes mains sur la ferraille. Il y avait des canapés et une table au milieu. Je quittais Hélène pour m'installer sur le canapé. Je sentais une immense fatigue me prendre, que je repoussais. Je ne dormais jamais sur mes deux oreilles au refuges, à cause des fondus. Mon regard ce dirigeais vers la fenêtre, d'on j'entrepris de me diriger. Je plaquais mes mains sur la vitre. En bas, le groupe de fondu devenait des petits point, tandis qu'on survolait les immeubles désaffectés. C'était hallucinant, tous ce qu'avait pu provoquer la braise. Des immeubles presque détruits, des endroits encore roussis de noirs et de crasse. Je détournais le regard pour revenir m'installer sur le canapé. Mis à part Chicago, j'ignorais ce qu'il ce passait dans les autres villes. « Est ce partout pareil ? » Mon ton ce fit sincère, débordant de curiosité soudaine. C'est vrai ça. Je me demène pour survivre dans Chicago, mais si ça ce trouve c'était absolument partout pareil. Des gens qui devenait dingue, qui délirait, avec de la peau pendante et des blessures presque ouverte. On ce croirait dans The Walking Dead. En faite, c'était presque un remix de The Walking Dead. Des espèce de zombies qui vous courrait après pour vous manger. Chouette. Qui n'a pas rêver un jour que le monde ce transforme en zombie ? Peu importe, de toute manière je m'en fichais. J'ignorais ce qu'étais devenu mon frère, et l'envie d'aller à Londre dans mon ancienne maison était intense. Je ne sais pas ou était passée mes parents. Si il était des zombies mutants, ou des survivants qui tentait de vivre. Et mon frère dans tous ça ?

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MessageDim 15 Mar - 16:02







Pas de repos pour les héros

C'est que cette Séléna était aussi têtue qu'Hélène. D'ailleurs, ne souhaitant pas s'éterniser sur un conflit de vouvoiement, celle ci fit mine de ne pas avoir entendu. De plus, Séléna était en contemplation devant le berg, ce qui donnait à Hélène une position avantageuse. Surtout pour ce qu'elle comptait faire de son « invité ».

Elle la laissa donc s’installer après être montée dans le berg. Pendant ce temps, Hélène s'occupait des derniers fondus, pour éviter que certains ne s'agrippent à l'appareil, ce qui s'était déjà produit. L'on ne pouvait prendre le risque d'amener un infecté dans la zone saine. Ce serait catastrophique. Le virus se propagerait si vite que l'on ne pourrait voir son avancé et il serait impossible de l'arrêter.

C'est pour cela que Hélène laissa Séléna quelques secondes seule dans les fauteuils, puis revint avec un appareil. Elle entendu Séléna lui poser une question, lui demandant si toutes les villes ressemblaient à Chicago. Elle ne lui répondit pas tout de suite. Elle s'approcha discrètement de Séléna et lui planta l'aiguille dans le bras. Quelques gouttes de sang furent prélevées en une fraction de seconde et Hélène retira l'aiguille avant que Séléna ne fasse de geste brusque. Elle allait sans doute ne pas apprécier, mais il le fallait.

Quelques secondes plus tard, un voyant bleu apparaissait, donnant le résultat : immune. Hélène ne s'était donc pas trompée. Elle annonça :

- Voilà le résultat du test ! Tu es une immune, ça veut dire que tu es protégée contre la Braise. Et pour répondre à ta question, presque toutes les anciennes capitales et grandes villes sont dévastées mais de nouvelles villes ont été construite.

Cela devait sans doute représenter un énorme soulagement pour celle qui devait se croire infectée quelques minutes plus tôt. Elle devait se dire que ce n'était qu'une question de temps. Que le seul facteur serait celui du temps, pas si elle allait mourir, mais quand. Ce qui était encore vrai, mais moins certainement. Maintenant ça ne dépendra plus que d'elle de vivre où non. Elle sera libre de ses choix… Dans le labyrinthe.

Car oui, le plan d'Hélène était de la capturer. En ce moment le WICKED est en « pénurie d'immunes », il faut donc y remédier. Pour cela, il a annoncé que dès qu'un immune était à disposition, il n'y avait pas d'hésitation à avoir, cela pour le sort de l'humanité. Hélène croie dans ce discourt. Elle est persuadée que c'est avec la science que pourra se résoudre l'épidémie. Et pas en cloisonnant les survivants sains entre eux. Encore moins en ne formant qu'un groupe d'immune. Cela reviendrait à diminuer la population encore saine par plus de cent. Ce qui ne peux être permis. Il faut le remède, c'est la seule issue. Et le seul moyen de l'obtenir est de continuer les épreuves, même si nous en sommes encore à la première phase, il faut continuer.

Le berg se dirigeait donc vers le centre du WICKED, afin de procéder à l'incertion.

[Terminé]


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